1974 |
Articles de journaux |
Bagnis, R, Denisot, M, Drollet, J H, Laigret, J Biotopes ciguatérigènes en Polynésie française. (Article de journal) Dans: Rev Int Oceanog Med, vol. 35-36, p. 213-23, 1974. @article{6283,
title = {Biotopes ciguatérigènes en Polynésie française.},
author = {R Bagnis and M Denisot and J H Drollet and J Laigret},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Rev Int Oceanog Med},
volume = {35-36},
pages = {213-23},
abstract = {Les auteurs dressent une liste des agressions naturelles et provoquées par l'homme sur les fonds marins de la Polynésie française. Ils signalent certains facteurs biotiques attestant de cette détérioration. Les auteurs essaient de trouver une relation entre les différentes données et les flambées de ciguatéra résultant de la consommation de poissons vénéneux dans diverses régions. Ils essaient par ailleurs de donner une nouvelle explication des causes de la ciguatéra en tenant compte plus particulièrement des bactéries et des champignons.The authors list different natural and man-made agressions on marine bottoms in French Polynesia. They point out some biotic factors attesting the deterioration. They attempt to correlate the various data with outbreaks of ciguatera due to the consumption of poisonous fish in several areas and to give a new explanation of its cause paying more attention to bacteria and fungus.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les auteurs dressent une liste des agressions naturelles et provoquées par l'homme sur les fonds marins de la Polynésie française. Ils signalent certains facteurs biotiques attestant de cette détérioration. Les auteurs essaient de trouver une relation entre les différentes données et les flambées de ciguatéra résultant de la consommation de poissons vénéneux dans diverses régions. Ils essaient par ailleurs de donner une nouvelle explication des causes de la ciguatéra en tenant compte plus particulièrement des bactéries et des champignons.The authors list different natural and man-made agressions on marine bottoms in French Polynesia. They point out some biotic factors attesting the deterioration. They attempt to correlate the various data with outbreaks of ciguatera due to the consumption of poisonous fish in several areas and to give a new explanation of its cause paying more attention to bacteria and fungus. |
Lagraulet, J Enquête sur l'éléphantiasis dans l'île de Tahaa. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 67, p. 73-7, 1974. @article{6292,
title = {Enquête sur l'éléphantiasis dans l'île de Tahaa.},
author = {J Lagraulet},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {67},
pages = {73-7},
abstract = {Dans l'île de Tahaa (Iles-sous-le-Vent, Polynésie française) où la microfilarémie est positive chez 16,6% de la population, l'éléphantiasis touche 1,3% de la population totale et 9,6% des sujets âgés de plus de 50 ans. Cette infirmité est très rarement accompagnée de microfilarémie positive, et elle est localisée principalement au membre inférieur (dans 80% des cas). L'auteur avait noté des résultats analogues aux Iles Marquises.In Tahaa Island (Lee-Side Islands, French Polynesia) where filaremia is positive in 16.6% of the population, 1.3% of the total population and 11.1% of the above-50-year people suffer from elephantiasis. This disease is very rarely associated with positive microfilaremia and most often localized to the inferior limb (above 80% of the cases). the authors had observed similar results in the Marquesas Islands.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Dans l'île de Tahaa (Iles-sous-le-Vent, Polynésie française) où la microfilarémie est positive chez 16,6% de la population, l'éléphantiasis touche 1,3% de la population totale et 9,6% des sujets âgés de plus de 50 ans. Cette infirmité est très rarement accompagnée de microfilarémie positive, et elle est localisée principalement au membre inférieur (dans 80% des cas). L'auteur avait noté des résultats analogues aux Iles Marquises.In Tahaa Island (Lee-Side Islands, French Polynesia) where filaremia is positive in 16.6% of the population, 1.3% of the total population and 11.1% of the above-50-year people suffer from elephantiasis. This disease is very rarely associated with positive microfilaremia and most often localized to the inferior limb (above 80% of the cases). the authors had observed similar results in the Marquesas Islands. |
Pichon, G Etude de la réduction parasitaire chez différents vecteurs naturels ou expérimentaux de filarioses. (Article de journal) Dans: CR Acad Sc Paris Série D, vol. 278, p. 3095-7, 1974. @article{6291,
title = {Etude de la réduction parasitaire chez différents vecteurs naturels ou expérimentaux de filarioses.},
author = {G Pichon},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {CR Acad Sc Paris Série D},
volume = {278},
pages = {3095-7},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
|
Bagnis, R Evolution d'une flambée de ciguatéra aux Iles Marquises. (Article de journal) Dans: Médecine et armées, vol. 2, p. 115-22, 1974. @article{6281,
title = {Evolution d'une flambée de ciguatéra aux Iles Marquises.},
author = {R Bagnis},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Médecine et armées},
volume = {2},
pages = {115-22},
abstract = {Les Iles Marquises, situées au nord-est de la Polynésie française, sont actuellement soumises à une flambée de ciguatéra. L'archipel dans sa presque totalité est touché. D'une étude épidémiologique effectuée en 1972, il ressort que le taux de morbidité annuel dans plusieurs îles oscille entre 15 et 30%. Les espèces le plus souvent vénéneuses sont les lutjans, loches, mérous, chirurgiens, perroquets, becs de cane et carangues. La plupart des lieux de pêche sont toxicogènes. L'affection se présente sous deux formes cliniques principales. L'une sévère, en régression, se caractérise par un syndrome polymorphe avec atteintes digestive, neurologique et cardiovasculaire plus ou moins marquées. L'autre, moins spectaculaire, mais en pleine extension, a une tendance à la chronicité et se traduit essentiellement par des dysesthésies dont l'élément majeur est un prurit tenace, qui pose le problème d'une participation allergique possible dans le déterminisme des troubles cliniques et ouvre la voie à des recherches immunologiques. La ciguatéra représente un problème de santé publique non négligeable dans cet archipel.The Marquesas Islands, at the north east of French Polynesia, are actually involved with an outbreak of ciguatera fish poisoning. Almost the whole archipelago is concerned by the phenomenon. In an epidemiological survey in 1972, the author points out that the annual morbidity rate oscillates between 15 and 30% in several islands. The more toxic species belong to the families of snappers, groupers, surgeonfishes, parrotfishes, emperors and jacks. Most of the fishing areas near of inhabited valleys are toxicogenous. The disease presents two principal clinical pictures. The first, severe, on decrease is characterized by a polymorphous syndrom with various digestive, neurologic and cardiovascular troubles. The second one, less spectacular but increasing, looks more chronical, and shows primarily dysesthesia with retentive itching, which suggests a possible allergic participation in the genesis of the clinical picture and opens the way of an immunological research. Ciguatera fish poisoning is a very important problem of public health in the Marquesas Islands.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les Iles Marquises, situées au nord-est de la Polynésie française, sont actuellement soumises à une flambée de ciguatéra. L'archipel dans sa presque totalité est touché. D'une étude épidémiologique effectuée en 1972, il ressort que le taux de morbidité annuel dans plusieurs îles oscille entre 15 et 30%. Les espèces le plus souvent vénéneuses sont les lutjans, loches, mérous, chirurgiens, perroquets, becs de cane et carangues. La plupart des lieux de pêche sont toxicogènes. L'affection se présente sous deux formes cliniques principales. L'une sévère, en régression, se caractérise par un syndrome polymorphe avec atteintes digestive, neurologique et cardiovasculaire plus ou moins marquées. L'autre, moins spectaculaire, mais en pleine extension, a une tendance à la chronicité et se traduit essentiellement par des dysesthésies dont l'élément majeur est un prurit tenace, qui pose le problème d'une participation allergique possible dans le déterminisme des troubles cliniques et ouvre la voie à des recherches immunologiques. La ciguatéra représente un problème de santé publique non négligeable dans cet archipel.The Marquesas Islands, at the north east of French Polynesia, are actually involved with an outbreak of ciguatera fish poisoning. Almost the whole archipelago is concerned by the phenomenon. In an epidemiological survey in 1972, the author points out that the annual morbidity rate oscillates between 15 and 30% in several islands. The more toxic species belong to the families of snappers, groupers, surgeonfishes, parrotfishes, emperors and jacks. Most of the fishing areas near of inhabited valleys are toxicogenous. The disease presents two principal clinical pictures. The first, severe, on decrease is characterized by a polymorphous syndrom with various digestive, neurologic and cardiovascular troubles. The second one, less spectacular but increasing, looks more chronical, and shows primarily dysesthesia with retentive itching, which suggests a possible allergic participation in the genesis of the clinical picture and opens the way of an immunological research. Ciguatera fish poisoning is a very important problem of public health in the Marquesas Islands. |
Cuzon, G, Lagraulet, J, Toudic, A, Tapu, J Etude disc-électrophorétique comparative du venin de quelques scorpaenidae ("Synanceja verrucosa", "Scorpaena gibbosa", "Pterois volitans" et "Pterois radiata"). (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 67, p. 226-30, 1974. @article{6278,
title = {Etude disc-électrophorétique comparative du venin de quelques scorpaenidae ("Synanceja verrucosa", "Scorpaena gibbosa", "Pterois volitans" et "Pterois radiata").},
author = {G Cuzon and J Lagraulet and A Toudic and J Tapu},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {67},
pages = {226-30},
abstract = {Les venins de Synanceja, Scorpaena et Pterois se différencient par le nombre et la mobilité de leurs constituants protéiques. 18 fractions sont repérables par électrophorèse du venin de Synanceja. Quelques protéines du venin de Scorpaena, Pterois et Synanceja migrent à des positions identiques dans le gel. La toxicité des venins du poisson-pierre résulte d'un effet combiné de composants divers bien isolés, mais les composants protéiques non identifiés par cette méthode pourraient être toxiques également. La comparaison des trois électrophorégrammes permet de considérer les fractions 10 et 13 comme pouvant être létales. D'un point de vue taxonomique les venins des deux espèces de Pterois présentent des différences électrophorétiques. L'isolement des protéines létales et la séparation des protéines basiques à l'aide des gels à forte concentration en acrylamide apparaissent intéressants. Les manifestations cliniques par piqûres de poisson-scorpion semblent plus graves lorsque le venin renferme une forte proportion de constituants protéiques.Morphological differences between fishes of the Scorpaenidae family are responsible for frequent painful stings in French Polynesia. The venom of the glands localized in the dorsal spines consists of a mixture of proteins. Disc-electrophoresis separates 13 to 18 protein fractions depending on the species. The venom of Synanceja is richer in protein components and causes more serious envenomations than other fish. Analyses of the venom of Pterois show two distinct electrophoretic patterns for P. radiata and P. volitans.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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Les venins de Synanceja, Scorpaena et Pterois se différencient par le nombre et la mobilité de leurs constituants protéiques. 18 fractions sont repérables par électrophorèse du venin de Synanceja. Quelques protéines du venin de Scorpaena, Pterois et Synanceja migrent à des positions identiques dans le gel. La toxicité des venins du poisson-pierre résulte d'un effet combiné de composants divers bien isolés, mais les composants protéiques non identifiés par cette méthode pourraient être toxiques également. La comparaison des trois électrophorégrammes permet de considérer les fractions 10 et 13 comme pouvant être létales. D'un point de vue taxonomique les venins des deux espèces de Pterois présentent des différences électrophorétiques. L'isolement des protéines létales et la séparation des protéines basiques à l'aide des gels à forte concentration en acrylamide apparaissent intéressants. Les manifestations cliniques par piqûres de poisson-scorpion semblent plus graves lorsque le venin renferme une forte proportion de constituants protéiques.Morphological differences between fishes of the Scorpaenidae family are responsible for frequent painful stings in French Polynesia. The venom of the glands localized in the dorsal spines consists of a mixture of proteins. Disc-electrophoresis separates 13 to 18 protein fractions depending on the species. The venom of Synanceja is richer in protein components and causes more serious envenomations than other fish. Analyses of the venom of Pterois show two distinct electrophoretic patterns for P. radiata and P. volitans. |
Barnes, W J, Rosen, L Fatal hemorrhagic disease and shock associated with primary dengue infection on a Pacific island. (Article de journal) Dans: Am J Trop Med Hyg, vol. 23, p. 495-506, 1974. @article{6279,
title = {Fatal hemorrhagic disease and shock associated with primary dengue infection on a Pacific island.},
author = {W J Barnes and L Rosen},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Am J Trop Med Hyg},
volume = {23},
pages = {495-506},
abstract = {An epidemic of dengue type 2 occurred on Niue Island during the first half of 1972 involved approximately 90% of the population of 4.600 persons and affected all age groups equally. Serologic data indicated that this was the first occurrence of any dengue virus on the island for at least 25 years. Many persons had minor hemorrhages associated with febrile illnesses during the outbreak and a few had severe hemorrhages or shock. Twelve deaths occurred which may have been caused by dengue. The clinical features of the fatal illnesses among children were very similar to those described previously for dengue hemorrhagic fever or dengue shock syndrome. It is concluded that at least some deaths among children were caused by dengue virus and were, consequently, the result of primary infection with that virus.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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An epidemic of dengue type 2 occurred on Niue Island during the first half of 1972 involved approximately 90% of the population of 4.600 persons and affected all age groups equally. Serologic data indicated that this was the first occurrence of any dengue virus on the island for at least 25 years. Many persons had minor hemorrhages associated with febrile illnesses during the outbreak and a few had severe hemorrhages or shock. Twelve deaths occurred which may have been caused by dengue. The clinical features of the fatal illnesses among children were very similar to those described previously for dengue hemorrhagic fever or dengue shock syndrome. It is concluded that at least some deaths among children were caused by dengue virus and were, consequently, the result of primary infection with that virus. |
Bagnis, R, Loussan, E, Thévenin, S Les intoxications par poissons perroquets aux Iles Gambier. (Article de journal) Dans: Med Trop, vol. 34, p. 523-7, 1974. @article{6287,
title = {Les intoxications par poissons perroquets aux Iles Gambier.},
author = {R Bagnis and E Loussan and S Thévenin},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Med Trop},
volume = {34},
pages = {523-7},
abstract = {The authors report on a cerebellar syndrom by people of Gambier Islands, poisoned with parrot-fishes Scarus gibbus. The troubles may be in correlation with the presence in the flesh of the fish of a new fat-soluble toxic compound, different from ciguatoxin.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
The authors report on a cerebellar syndrom by people of Gambier Islands, poisoned with parrot-fishes Scarus gibbus. The troubles may be in correlation with the presence in the flesh of the fish of a new fat-soluble toxic compound, different from ciguatoxin. |
Denisot, M, Bagnis, R Le problème de la répartition des récifs à algues en Polynésie française. Essai d'explications écologiques. (Article de journal) Dans: Bull Soc Phycol France, p. 168-70, 1974. @article{6288,
title = {Le problème de la répartition des récifs à algues en Polynésie française. Essai d'explications écologiques.},
author = {M Denisot and R Bagnis},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Bull Soc Phycol France},
pages = {168-70},
abstract = {Les constructions récifales jouent un rôle majeur en Polynésie française et les algues, bien qu'elles ne soient pas pondéralement dominantes, sont indispensables à leur installation, leur développement, leur équilibre. Les observations accumulées depuis 10 ans sur l'ensemble du territoire, tant dans le domaine algal, que dans celui de la répartition de l'ichtyosarcotoxisme, permettent de penser que le rôle mécanique des vagues et par elles, des galets, peut localement dominer, si la pente du fond est assez forte.Reef buildings have a large place in french Polynesia, and algae, throught not dominating in weight, are necessary for their establishment, development and life. Datas collected from the last ten years in the whole territory about algae, as well as about the distribution of ichtyosarcotoxism, may think that the mechanical action of the surf and the peebles can locally dominate if the slope is strong enough.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les constructions récifales jouent un rôle majeur en Polynésie française et les algues, bien qu'elles ne soient pas pondéralement dominantes, sont indispensables à leur installation, leur développement, leur équilibre. Les observations accumulées depuis 10 ans sur l'ensemble du territoire, tant dans le domaine algal, que dans celui de la répartition de l'ichtyosarcotoxisme, permettent de penser que le rôle mécanique des vagues et par elles, des galets, peut localement dominer, si la pente du fond est assez forte.Reef buildings have a large place in french Polynesia, and algae, throught not dominating in weight, are necessary for their establishment, development and life. Datas collected from the last ten years in the whole territory about algae, as well as about the distribution of ichtyosarcotoxism, may think that the mechanical action of the surf and the peebles can locally dominate if the slope is strong enough. |
Bagnis, R La ciguatéra et le médecin praticien. (Article de journal) Dans: Med Ocean, p. 32-7, 1974. @article{6280,
title = {La ciguatéra et le médecin praticien.},
author = {R Bagnis},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Med Ocean},
pages = {32-7},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
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Segonne, J, Stanghellini, A, Bernard, F, Casteran, M La poliomyélite à Tahiti. Approche épidémiologique : état pré-immunitaire et séroconversions post-vaccinales. (Article de journal) Dans: Rev Epidemiol Sante Publ, vol. 22, p. 627-35, 1974. @article{6277,
title = {La poliomyélite à Tahiti. Approche épidémiologique : état pré-immunitaire et séroconversions post-vaccinales.},
author = {J Segonne and A Stanghellini and F Bernard and M Casteran},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Rev Epidemiol Sante Publ},
volume = {22},
pages = {627-35},
abstract = {L'archipel polynésien présente un aspect épidémiologique particulier en ce qui concerne la poliomyélite. Après une unique épidémie (virus de type 1), la poliomyélite a évolué sur le mode sporadique donnant une idée fausse de l'état immunitaire de la population. Lorsqu'en 1971, survinrent cinq cas de poliomyélite à forme paralytique (virus de type 2), se posa le problème de la protection des sujets exposés aux formes graves de la maladie. Sur les conseils du Service de Santé, l'Assemblée territoriale rendit obligatoire la vaccination des jeunes de 0 à 16 ans. A l'occasion d'une campagne préliminaire (3180 sujets vaccinés avec le vaccin trivalent à virus atténué), une enquête sérologique a été réalisée par titrage des anticorps neutralisants. L'examen des sérums de cinquante jeunes de 9 à 19 ans démontra un état pré-immunitaire insuffisant à cet âge (38% de triple négatifs) confirmant la nécessité de la vaccination ; la séroconversion obtenue un mois après la deuxième prise de vaccin apparut très satisfaisante.- Séroconversion par type : 60% pour le type 1 ; 100% pour le type 2 ; 97% pour le type 3.
- Séroconversion des séro-négatifs : 73% d'immunisation contre les trois types.
Polynesian archipelago offers a particular epidemiologic aspect for poliomyelitis. After a single outbreak in (type 1 virus) poliomyelitis ran its course on sporadic way, giving a false idea of the population immunitary state. When in 1971, five paralytic poliomyelitis cases occurred (type 2 virus), the problem of the people protection against severe forms of the disease was set. On Public Health advice, the territorial Assembly obliged polio vaccination to young people between 0 and 16 years old by oral Sabin vaccine. During a preliminary campaign (3180 vaccinations with trivalent attenuated virus vaccine), a serologic survey was realized by evaluation of neutralizing antibodies. The investigation of serum samples from fifty subjects from nine to nineteen years proved an insufficient pre-immunitary state (38% triple negative) confirming the need for vaccination.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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L'archipel polynésien présente un aspect épidémiologique particulier en ce qui concerne la poliomyélite. Après une unique épidémie (virus de type 1), la poliomyélite a évolué sur le mode sporadique donnant une idée fausse de l'état immunitaire de la population. Lorsqu'en 1971, survinrent cinq cas de poliomyélite à forme paralytique (virus de type 2), se posa le problème de la protection des sujets exposés aux formes graves de la maladie. Sur les conseils du Service de Santé, l'Assemblée territoriale rendit obligatoire la vaccination des jeunes de 0 à 16 ans. A l'occasion d'une campagne préliminaire (3180 sujets vaccinés avec le vaccin trivalent à virus atténué), une enquête sérologique a été réalisée par titrage des anticorps neutralisants. L'examen des sérums de cinquante jeunes de 9 à 19 ans démontra un état pré-immunitaire insuffisant à cet âge (38% de triple négatifs) confirmant la nécessité de la vaccination ; la séroconversion obtenue un mois après la deuxième prise de vaccin apparut très satisfaisante.- Séroconversion par type : 60% pour le type 1 ; 100% pour le type 2 ; 97% pour le type 3. - Séroconversion des séro-négatifs : 73% d'immunisation contre les trois types. Polynesian archipelago offers a particular epidemiologic aspect for poliomyelitis. After a single outbreak in (type 1 virus) poliomyelitis ran its course on sporadic way, giving a false idea of the population immunitary state. When in 1971, five paralytic poliomyelitis cases occurred (type 2 virus), the problem of the people protection against severe forms of the disease was set. On Public Health advice, the territorial Assembly obliged polio vaccination to young people between 0 and 16 years old by oral Sabin vaccine. During a preliminary campaign (3180 vaccinations with trivalent attenuated virus vaccine), a serologic survey was realized by evaluation of neutralizing antibodies. The investigation of serum samples from fifty subjects from nine to nineteen years proved an insufficient pre-immunitary state (38% triple negative) confirming the need for vaccination. |
Bagnis, R, Kaeuffer, H Perspectives immunologiques en matière de ciguatéra. (Article de journal) Dans: Med Trop, vol. 34, p. 25-7, 1974. @article{6284,
title = {Perspectives immunologiques en matière de ciguatéra.},
author = {R Bagnis and H Kaeuffer},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Med Trop},
volume = {34},
pages = {25-7},
abstract = {Les auteurs, à propos d'une étude épidémiologique doublée d'une enquête sérologique aux îles Gambier, ouvrent la voie aux recherches de type immunologique en matière d'intoxication par poissons vénéneux. Ils mettent en relief les applications pratiques qui peuvent découler de telles investigations.The authors, about an epidemiological and serological bioassay at Gambier islands, open the way to immunological in the field of ciguatera fish poisoning. They point out the practical applications which can follow these investigations.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les auteurs, à propos d'une étude épidémiologique doublée d'une enquête sérologique aux îles Gambier, ouvrent la voie aux recherches de type immunologique en matière d'intoxication par poissons vénéneux. Ils mettent en relief les applications pratiques qui peuvent découler de telles investigations.The authors, about an epidemiological and serological bioassay at Gambier islands, open the way to immunological in the field of ciguatera fish poisoning. They point out the practical applications which can follow these investigations. |
Bagnis, R, Letourneux, M, Thévenin, S Quelques aspects biochimiques des intoxications par poissons vénéneux à Tahiti. (Article de journal) Dans: Rev Int Oceanog Med, vol. 35-36, p. 225-36, 1974. @article{6286,
title = {Quelques aspects biochimiques des intoxications par poissons vénéneux à Tahiti.},
author = {R Bagnis and M Letourneux and S Thévenin},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Rev Int Oceanog Med},
volume = {35-36},
pages = {225-36},
abstract = {Les auteurs mettent en évidence le fait que les poissons vénéneux de niveaux trophiques différents comme les lutjans, mérous, perroquets, chirurgiens peuvent emmagasiner dans leur chair une même toxine, chromatographiquement semblable à la ciguatoxine isolée dans une murène. Ils montrent également que la concentration en toxine dans les poissons carnivores est supérieure à celle notée dans les poissons microphages.The authors point out that poisonous fish from different trophic levels and habits, like snapper, grouper, parrot-fish and jack can stock in their flesh a same toxin, chromatographically similar to the ciguatoxin previously isolated in a moray eel. They show that the level of toxicity is increasing in the carnivorous fish comparatively to microphagous fish.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les auteurs mettent en évidence le fait que les poissons vénéneux de niveaux trophiques différents comme les lutjans, mérous, perroquets, chirurgiens peuvent emmagasiner dans leur chair une même toxine, chromatographiquement semblable à la ciguatoxine isolée dans une murène. Ils montrent également que la concentration en toxine dans les poissons carnivores est supérieure à celle notée dans les poissons microphages.The authors point out that poisonous fish from different trophic levels and habits, like snapper, grouper, parrot-fish and jack can stock in their flesh a same toxin, chromatographically similar to the ciguatoxin previously isolated in a moray eel. They show that the level of toxicity is increasing in the carnivorous fish comparatively to microphagous fish. |
Pichon, G Relations mathématiques entre le nombre des microfilaires ingérées et le nombre de parasites chez différents vecteurs naturels et expérimentaux de filariose. (Article de journal) Dans: Cah ORSTOM Ser Ent Med Parasitol, vol. 12, p. 199-216, 1974. @article{6290,
title = {Relations mathématiques entre le nombre des microfilaires ingérées et le nombre de parasites chez différents vecteurs naturels et expérimentaux de filariose.},
author = {G Pichon},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Cah ORSTOM Ser Ent Med Parasitol},
volume = {12},
pages = {199-216},
abstract = {Une étude mathématique des données publiées par divers auteurs sur différents couples parasites-vecteurs a été réalisée.Si x est le nombre moyen de microfilaires ingérées, et y est le nombre moyen de parasites traversant l'hémocèle ou parvenant au stade infectant, l'inverse de la probabilité de réussite y/x semble varier de façon linéaire avec x.
Il s'ensuit que le nombre de parasites transformés peut être considéré comme une fonction hyperbolique du nombre de microfilaires ingérées. Les relations parasite-vecteur peuvent être numériquement évaluées grâce à deux paramètres, J et H. Les conséquences expérimentales, épidémiologiques et évolutives de ce résultat sont discutées.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Une étude mathématique des données publiées par divers auteurs sur différents couples parasites-vecteurs a été réalisée.Si x est le nombre moyen de microfilaires ingérées, et y est le nombre moyen de parasites traversant l'hémocèle ou parvenant au stade infectant, l'inverse de la probabilité de réussite y/x semble varier de façon linéaire avec x. Il s'ensuit que le nombre de parasites transformés peut être considéré comme une fonction hyperbolique du nombre de microfilaires ingérées. Les relations parasite-vecteur peuvent être numériquement évaluées grâce à deux paramètres, J et H. Les conséquences expérimentales, épidémiologiques et évolutives de ce résultat sont discutées. |
Pichon, G, Perrault, G, Laigret, J Rendement parasitaire chez les vecteurs de filarioses. (Article de journal) Dans: Bull Wld Hlth Org, vol. 51, p. 517-24, 1974. @article{6289,
title = {Rendement parasitaire chez les vecteurs de filarioses.},
author = {G Pichon and G Perrault and J Laigret},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Bull Wld Hlth Org},
volume = {51},
pages = {517-24},
abstract = {Le rendement parasitaire (c'est-à-dire la proportion de microfilaires ingérées qui parviennent au stade infectant, le principal 'barrage' étant généralement situé au niveau de la traversée de la paroi stomacale du vecteur) varie en fonction du nombre de microfilaires ingérées, suivant deux types : limitation chez Aedes, Culex et simulies, facilitation chez les anophèles (Bain, 1971 ; Brengues & Bain, 1972). Une formule mathématique permet de relier une souche de parasite à une souche de vecteur à l'aide de deux paramètres. La présentation en annexe d'un modèle mathématique théorique illustre comment les phénomènes de limitation et de facilitation permettent de rendre compte des particularités épidémiologiques de la filariose de Bancroft en Polynésie et en Afrique occidentale. Les perspectives de lutte sont discutées en fonction du type fondamentalement différent de régulation chez les populations naturelles de parasites.It is well known that, in the biological cycle of the Filariidae, the parasite does not multiply in the vector host. On the contrary, in a given intermediate host the infective larvae are always fewer than the microfilariae ingested : this reduction in the number of parasites during their life in the vector is termed parasite reduction, and the ratio between the number of infective larvae and the number of microfilariae ingested is known as the parasite yield. The parasite reduction seems to occur mainly on passing the stomach wall, and two types of parasite reduction have been observed : (a) in most cases (Aedes, Culex and Simulium) 'limitation' occurs : the viability of the microfilariae, or the parasite yield, drops as the number of parasites increases ; (b) in the Anopheles gambiae A/Wuchereria bancrofti partnership, the parasite yield increases when the number of ingested microfilariae increases : this is 'facilitation'. A mathematical formula for the quantitative analysis of these two phenomena is presented and their possible influence on the control of W. bancrofti populations is discussed. The Annex presents a theoretical mathematical model showing how a parasite population would develop in an isolated individual surrounded by a stable vector population, depending on wether the vectors give rise to facilitation or limitation. In conclusion, the facilitation mechanism seems to be a factor beneficial to the control of filariasis in areas where this disease is transmitted by anopheline mosquitos, such as West Africa. The viability of the microfilariae in the vector is in fact lower where the microfilarial density is reduced, which occurs as a result of mass chemoprophylaxis ; once a certain threshold is crossed eradication can theoretically be archieved spontaneously and become a permanent state. On the other hand, the presence of the limitation phenomenon in Aedes means that when the number of microfilariae is reduced the parasite yield increases towards unity. Thus the fact that it was not possible to eradicate filariasis in a polynesian island where transmission is due to Aedes polynesiensis is not necessarily attributable to inadequacies in the application of mass diethylcarbamazine treatment. In such cases it will generally be possible to obtain the best results only by a combination of mass treatment and vector control. However, even if eradication is archieved the risks of reintroduction will make the situation unstable if the vector population is not kept at a low density.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Le rendement parasitaire (c'est-à-dire la proportion de microfilaires ingérées qui parviennent au stade infectant, le principal 'barrage' étant généralement situé au niveau de la traversée de la paroi stomacale du vecteur) varie en fonction du nombre de microfilaires ingérées, suivant deux types : limitation chez Aedes, Culex et simulies, facilitation chez les anophèles (Bain, 1971 ; Brengues & Bain, 1972). Une formule mathématique permet de relier une souche de parasite à une souche de vecteur à l'aide de deux paramètres. La présentation en annexe d'un modèle mathématique théorique illustre comment les phénomènes de limitation et de facilitation permettent de rendre compte des particularités épidémiologiques de la filariose de Bancroft en Polynésie et en Afrique occidentale. Les perspectives de lutte sont discutées en fonction du type fondamentalement différent de régulation chez les populations naturelles de parasites.It is well known that, in the biological cycle of the Filariidae, the parasite does not multiply in the vector host. On the contrary, in a given intermediate host the infective larvae are always fewer than the microfilariae ingested : this reduction in the number of parasites during their life in the vector is termed parasite reduction, and the ratio between the number of infective larvae and the number of microfilariae ingested is known as the parasite yield. The parasite reduction seems to occur mainly on passing the stomach wall, and two types of parasite reduction have been observed : (a) in most cases (Aedes, Culex and Simulium) 'limitation' occurs : the viability of the microfilariae, or the parasite yield, drops as the number of parasites increases ; (b) in the Anopheles gambiae A/Wuchereria bancrofti partnership, the parasite yield increases when the number of ingested microfilariae increases : this is 'facilitation'. A mathematical formula for the quantitative analysis of these two phenomena is presented and their possible influence on the control of W. bancrofti populations is discussed. The Annex presents a theoretical mathematical model showing how a parasite population would develop in an isolated individual surrounded by a stable vector population, depending on wether the vectors give rise to facilitation or limitation. In conclusion, the facilitation mechanism seems to be a factor beneficial to the control of filariasis in areas where this disease is transmitted by anopheline mosquitos, such as West Africa. The viability of the microfilariae in the vector is in fact lower where the microfilarial density is reduced, which occurs as a result of mass chemoprophylaxis ; once a certain threshold is crossed eradication can theoretically be archieved spontaneously and become a permanent state. On the other hand, the presence of the limitation phenomenon in Aedes means that when the number of microfilariae is reduced the parasite yield increases towards unity. Thus the fact that it was not possible to eradicate filariasis in a polynesian island where transmission is due to Aedes polynesiensis is not necessarily attributable to inadequacies in the application of mass diethylcarbamazine treatment. In such cases it will generally be possible to obtain the best results only by a combination of mass treatment and vector control. However, even if eradication is archieved the risks of reintroduction will make the situation unstable if the vector population is not kept at a low density. |
Bagnis, R Situation de l'endémicité ciguatérique aux Iles Gambier. (Article de journal) Dans: Cah Pacif, vol. 18, p. 585-99, 1974. @article{6282,
title = {Situation de l'endémicité ciguatérique aux Iles Gambier.},
author = {R Bagnis},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Cah Pacif},
volume = {18},
pages = {585-99},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
|
Bagnis, R, Letourneux, M Une ciguatoxine commune à divers poissons des milieux coralliens. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 67, p. 209-17, 1974. @article{6285,
title = {Une ciguatoxine commune à divers poissons des milieux coralliens.},
author = {R Bagnis and M Letourneux},
year = {1974},
date = {1974-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {67},
pages = {209-17},
abstract = {The authors point out that poisonous fishes from different trophic levels and habits, like some snapper, grouper parrot-fish, surgeon-fish and Jacks can stock in their flesh a same toxin, chromatographically similar to the ciguatoxin in previously isolated in a moray eel. They show that the level of toxicity is increasing in the carnivorous fish comparatively to microphagous fish.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
The authors point out that poisonous fishes from different trophic levels and habits, like some snapper, grouper parrot-fish, surgeon-fish and Jacks can stock in their flesh a same toxin, chromatographically similar to the ciguatoxin in previously isolated in a moray eel. They show that the level of toxicity is increasing in the carnivorous fish comparatively to microphagous fish. |
1973 |
Articles de journaux |
Moreau, J P, Rosen, L, Saugrain, J, Lagraulet, J An epidemic of dengue on Tahiti associated with hemorrhagic manifestations. (Article de journal) Dans: Am J Trop Med Hyg, vol. 22, p. 237-41, 1973. @article{6294,
title = {An epidemic of dengue on Tahiti associated with hemorrhagic manifestations.},
author = {J P Moreau and L Rosen and J Saugrain and J Lagraulet},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Am J Trop Med Hyg},
volume = {22},
pages = {237-41},
abstract = {During the course of an outbreak of dengue type 2 on the island of Tahiti, French Polynesia, severe hemorrhagic disease was onserved in an unusual number of patients shortly after the onset of a febrile illness. In at least 33 instances, these hemorrhages were severe enough to require hospitalization and 3 patients died. Gastrointestinal bleeding was the most common type of severe hemorrhage observed and gross hematuria was next most common. The available data suggested that most of the hemorrhagic episodes were etiologically related to dengue virus.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
During the course of an outbreak of dengue type 2 on the island of Tahiti, French Polynesia, severe hemorrhagic disease was onserved in an unusual number of patients shortly after the onset of a febrile illness. In at least 33 instances, these hemorrhages were severe enough to require hospitalization and 3 patients died. Gastrointestinal bleeding was the most common type of severe hemorrhage observed and gross hematuria was next most common. The available data suggested that most of the hemorrhagic episodes were etiologically related to dengue virus. |
Lagraulet, J, Barsinas, M, Fagneaux, G, Teahui, M Etat actuel de la filariose aux Marquises. Différents aspects épidémiologiques. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 66, p. 139-55, 1973. @article{6303,
title = {Etat actuel de la filariose aux Marquises. Différents aspects épidémiologiques.},
author = {J Lagraulet and M Barsinas and G Fagneaux and M Teahui},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {66},
pages = {139-55},
abstract = {Les auteurs donnent les résultats d'une enquête hématologique effectuée aux Iles Marquises, ainsi que l'analyse d'une enquête clinique portant sur 10% de la population. Il semble exister plusieurs aspects épidémiologiques dont les différences sont souvent difficiles à interpréter.The authors reports the results of a hematologic survey carried out in the Marquesas, and an analysis of a clinical survey of 10% of the population. Several epidemiologic aspects seem to exist, the differences being difficult to interpret.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les auteurs donnent les résultats d'une enquête hématologique effectuée aux Iles Marquises, ainsi que l'analyse d'une enquête clinique portant sur 10% de la population. Il semble exister plusieurs aspects épidémiologiques dont les différences sont souvent difficiles à interpréter.The authors reports the results of a hematologic survey carried out in the Marquesas, and an analysis of a clinical survey of 10% of the population. Several epidemiologic aspects seem to exist, the differences being difficult to interpret. |
Lagraulet, J, Bereziat, G, Cuzon, G, Polonovski, J Etude comparative des acides gras extraits de poissons Ctenochaetus striatus provenant de zones toxicogènes et non toxicogènes du lagon de Tahiti. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 66, p. 235-9, 1973. @article{6299,
title = {Etude comparative des acides gras extraits de poissons Ctenochaetus striatus provenant de zones toxicogènes et non toxicogènes du lagon de Tahiti.},
author = {J Lagraulet and G Bereziat and G Cuzon and J Polonovski},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {66},
pages = {235-9},
abstract = {L'étude par chromatographie gazeuse d'acides gras extraits de poissons C. striatus provenant d'une zone toxique, et de poissons provenant d'une zone indemne met en évidence des différences importantes entre les deux profils.A gas chromatography study of acids extracted from the C. striatus fish issued from a toxic area, and from fish issued from an intact zone, shows significant differences between the two profiles.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L'étude par chromatographie gazeuse d'acides gras extraits de poissons C. striatus provenant d'une zone toxique, et de poissons provenant d'une zone indemne met en évidence des différences importantes entre les deux profils.A gas chromatography study of acids extracted from the C. striatus fish issued from a toxic area, and from fish issued from an intact zone, shows significant differences between the two profiles. |
Renambot, J, Bagnis, R L'électrocardiogramme au cours des intoxications par la chair de poissons vénéneux. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 67, p. 322-30, 1973. @article{6302,
title = {L'électrocardiogramme au cours des intoxications par la chair de poissons vénéneux.},
author = {J Renambot and R Bagnis},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {67},
pages = {322-30},
abstract = {a) L'étude de 105 tracés enregistrés au cours de 79 intoxications par ingestion de chair de poisson toxique permet de dégager un aspect électrocardiographique de la ciguatéra :- bradycardie sinusale relative à 55 en moyenne (63% des tracés) contrastant avec un état de choc fréquemment associé ;
- aspect de la phase de repolarisation semblable à celui rencontré dans les vagotonies (40%) :
· segment (ST sus décalé), concave en haut ;
· onde T ample mais asymétrique ;
· onde U souvent visible de même sens que l'onde T ;
- possibilité de rythmes de remplacement auriculaires ou jonctionnels (9%) ;
- absence d'hyperexcitabilité ventriculaire.
b) La pathogénie de ces troubles ne pourra être élucidée que lorsque l'étude toxicologique de l'affection sera plus avancée.
Les auteurs discutent surtout la possibilité d'une action toxique de type vagal au niveau du myocarde.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
a) L'étude de 105 tracés enregistrés au cours de 79 intoxications par ingestion de chair de poisson toxique permet de dégager un aspect électrocardiographique de la ciguatéra :- bradycardie sinusale relative à 55 en moyenne (63% des tracés) contrastant avec un état de choc fréquemment associé ; - aspect de la phase de repolarisation semblable à celui rencontré dans les vagotonies (40%) : · segment (ST sus décalé), concave en haut ; · onde T ample mais asymétrique ; · onde U souvent visible de même sens que l'onde T ; - possibilité de rythmes de remplacement auriculaires ou jonctionnels (9%) ; - absence d'hyperexcitabilité ventriculaire. b) La pathogénie de ces troubles ne pourra être élucidée que lorsque l'étude toxicologique de l'affection sera plus avancée. Les auteurs discutent surtout la possibilité d'une action toxique de type vagal au niveau du myocarde. |
Cuzon, G, Bagnis, R, Moreau, J P, Lagraulet, J, Thévenin, S, Bennett, J, Nanai, F Les protéines sériques de Ctenochaetus striatus. Modifications du schéma électrophorétique chez les poissons ciguatérigènes. (Article de journal) Dans: CR Soc Biol, vol. 167, p. 79-85, 1973. @article{6297,
title = {Les protéines sériques de Ctenochaetus striatus. Modifications du schéma électrophorétique chez les poissons ciguatérigènes.},
author = {G Cuzon and R Bagnis and J P Moreau and J Lagraulet and S Thévenin and J Bennett and F Nanai},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {CR Soc Biol},
volume = {167},
pages = {79-85},
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pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
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Bagnis, R La ciguatéra aux îles Marquises : aspects cliniques et épidémiologiques. (Article de journal) Dans: Bull Wld Hlth Org, vol. 49, p. 67-73, 1973. @article{6296,
title = {La ciguatéra aux îles Marquises : aspects cliniques et épidémiologiques.},
author = {R Bagnis},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Bull Wld Hlth Org},
volume = {49},
pages = {67-73},
abstract = {Aucune étude statistique véritable du phénomène ciguatérique dans un ensemble géographique homogène n'a jamais été publiée. Les îles Marquises offrent actuellement un exemple patent et inquiétant de morbidité ciguatérique élevée au sein d'une population tirant de la mer la quasi-totalité de son alimentation en protéines animales. Sur le plan pathogénique, la flambée d'ichtyosarcotoxisme observée dans cette région pose le problème de la sensibilisation des malades intoxiqués une première fois, non seulement aux protéines pisciaires mais aussi aux protéines animales en général, éclairant d'un jour nouveau l'aspect clinique de la maladie. Enfin, elle met en relief une endémie méconnue dont les recrudescences sont souvent liées à la biodégradation du milieu marin tant par des agressions naturelles qu'artificielles, d'origine humaine.Almost the whole archipelago of the Marquesas islands, situated to the north-east of French Polynesia, is at present undergoing an outbreak of ciguatera - a disease prevalent in tropical waters and caused by the ingestion of certains species of fish that are normally edible. In its more severe form, the disease presents a polymorphous syndrome with neurological, cardiovascular, gastro-intestinal, and osteomuscular manifestations of varying severity. A less spectacular form, tending to be chronic, is characterized essentially by dysesthesia, with persistent pruritus as the main element. The most frequently encountered species of fish that cause ciguatera are snappers, groupers, surgeon-fish, parrot-fish, emperors, and jacks. These are to be found in most fishing areas near inhabited villages. An epidemiological study carried out in 1972 revealed that the annual morbidity rate in several of the islands oscillated between 15% and 30%. Thus the public health problem posed by ciguatera in this archipelago is far from negligible.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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Aucune étude statistique véritable du phénomène ciguatérique dans un ensemble géographique homogène n'a jamais été publiée. Les îles Marquises offrent actuellement un exemple patent et inquiétant de morbidité ciguatérique élevée au sein d'une population tirant de la mer la quasi-totalité de son alimentation en protéines animales. Sur le plan pathogénique, la flambée d'ichtyosarcotoxisme observée dans cette région pose le problème de la sensibilisation des malades intoxiqués une première fois, non seulement aux protéines pisciaires mais aussi aux protéines animales en général, éclairant d'un jour nouveau l'aspect clinique de la maladie. Enfin, elle met en relief une endémie méconnue dont les recrudescences sont souvent liées à la biodégradation du milieu marin tant par des agressions naturelles qu'artificielles, d'origine humaine.Almost the whole archipelago of the Marquesas islands, situated to the north-east of French Polynesia, is at present undergoing an outbreak of ciguatera - a disease prevalent in tropical waters and caused by the ingestion of certains species of fish that are normally edible. In its more severe form, the disease presents a polymorphous syndrome with neurological, cardiovascular, gastro-intestinal, and osteomuscular manifestations of varying severity. A less spectacular form, tending to be chronic, is characterized essentially by dysesthesia, with persistent pruritus as the main element. The most frequently encountered species of fish that cause ciguatera are snappers, groupers, surgeon-fish, parrot-fish, emperors, and jacks. These are to be found in most fishing areas near inhabited villages. An epidemiological study carried out in 1972 revealed that the annual morbidity rate in several of the islands oscillated between 15% and 30%. Thus the public health problem posed by ciguatera in this archipelago is far from negligible. |
Saugrain, J, Moreau, J P, Rosen, L L'épidémie de dengue de Tahiti en 1971. Evolution de la tendance hémorragique et comparaisons avec les épidémies précédentes. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 66, p. 381-5, 1973. @article{6295,
title = {L'épidémie de dengue de Tahiti en 1971. Evolution de la tendance hémorragique et comparaisons avec les épidémies précédentes.},
author = {J Saugrain and J P Moreau and L Rosen},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {66},
pages = {381-5},
abstract = {En 1971, une épidémie de dengue à virus 2 a atteint l'île de Tahiti (Polynésie française) et s'est accompagnée de phénomènes hémorragiques. Les malades les plus gravement atteints avaient une réponse secondaire d'anticorps et étaient présents lors des épidémies précédentes de 1965 et 1960, attribuées à un virus 3. La thèse pathogénique d'une sensibilisation se heurte toutefois à des constatations contradictoires faites au cours d'autres épidémies dans la région du Pacifique.During the middle of 1971, an outbreak of dengue fever occurred on the island of Tahiti (French Polynesia). A high incidence and severe hemorrhagic diseases were noticed. Dengue virus type 2 was isolated. Formerly, in 1964-1965 and 1960, the island was affected by dengue, probably type 3, with less important incidence and bleedings. The most affected patients in 1971 had a secundary type antibody response and had been present in 1965 and 1960. For that reason, a sensibilization phenomena is suggested. Unfortunately, observations collected from other outbreaks in the Pacific area do not confirm that hypothesis and a peculiar agressivity of some strains of dengue virus type 2 seems more credible.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
En 1971, une épidémie de dengue à virus 2 a atteint l'île de Tahiti (Polynésie française) et s'est accompagnée de phénomènes hémorragiques. Les malades les plus gravement atteints avaient une réponse secondaire d'anticorps et étaient présents lors des épidémies précédentes de 1965 et 1960, attribuées à un virus 3. La thèse pathogénique d'une sensibilisation se heurte toutefois à des constatations contradictoires faites au cours d'autres épidémies dans la région du Pacifique.During the middle of 1971, an outbreak of dengue fever occurred on the island of Tahiti (French Polynesia). A high incidence and severe hemorrhagic diseases were noticed. Dengue virus type 2 was isolated. Formerly, in 1964-1965 and 1960, the island was affected by dengue, probably type 3, with less important incidence and bleedings. The most affected patients in 1971 had a secundary type antibody response and had been present in 1965 and 1960. For that reason, a sensibilization phenomena is suggested. Unfortunately, observations collected from other outbreaks in the Pacific area do not confirm that hypothesis and a peculiar agressivity of some strains of dengue virus type 2 seems more credible. |
Letourneux, M, Bagnis, R Mise en évidence d'une toxine de nature lipidique dans le muscle d'un poisson perroquet de l'espèce Scarops rubroviolaceus. (Article de journal) Dans: Biochimie, vol. 55, p. 1499-1502, 1973. @article{6301,
title = {Mise en évidence d'une toxine de nature lipidique dans le muscle d'un poisson perroquet de l'espèce Scarops rubroviolaceus.},
author = {M Letourneux and R Bagnis},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Biochimie},
volume = {55},
pages = {1499-1502},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
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Cuzon, G, Bagnis, R, Lagraulet, J Observations sur le métabolisme d'un poisson vénéneux des eaux tropicales : ctenochaetus striatus. (Article de journal) Dans: Helgoländer Wiss Meeresunters, vol. 24, 1973. @article{6298,
title = {Observations sur le métabolisme d'un poisson vénéneux des eaux tropicales : ctenochaetus striatus.},
author = {G Cuzon and R Bagnis and J Lagraulet},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Helgoländer Wiss Meeresunters},
volume = {24},
abstract = {1. La toxicité des poissons est contrôlée en faisant absorber 10% de leur poids en chair de poisson à de jeunes chats.2. Les analyses de la teneur en eau du muscle des poissons montrent une augmentation significative chez les poissons ciguatérigènes. La fraction toxique hydrosoluble apparaît donc prépondérante sur la fraction liposoluble (ciguatoxine).
3. L'azote total du muscle montre de légères variations suivant qu'on s'adresse à un poisson inoffensif ou toxique. La teneur en lipides musculaires est relativement constante.
4. Les protéines totales du sérum ont des valeurs voisines m1 = 13,4 g/l chez les toxiques},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
1. La toxicité des poissons est contrôlée en faisant absorber 10% de leur poids en chair de poisson à de jeunes chats.2. Les analyses de la teneur en eau du muscle des poissons montrent une augmentation significative chez les poissons ciguatérigènes. La fraction toxique hydrosoluble apparaît donc prépondérante sur la fraction liposoluble (ciguatoxine). 3. L'azote total du muscle montre de légères variations suivant qu'on s'adresse à un poisson inoffensif ou toxique. La teneur en lipides musculaires est relativement constante. 4. Les protéines totales du sérum ont des valeurs voisines m1 = 13,4 g/l chez les toxiques |
Lagraulet, J Prophylaxie et traitement de la filariose en Polynésie française. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 66, p. 311-20, 1973. @article{6304,
title = {Prophylaxie et traitement de la filariose en Polynésie française.},
author = {J Lagraulet},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {66},
pages = {311-20},
abstract = {L'auteur passe en revue les différents types de traitements employés dans la chimioprophylaxie de la filariose en Polynésie. Il donne un aperçu de la situation actuelle et des résultats obtenus, qu'il estime satisfaisants. La lutte contre le vecteur ne paraît possible à l'heure actuelle que par la suppression des gîtes larvaires. En thérapeutique individuelle certaines macrofilaricides peuvent être employés, mais assez précocément. Les cas relevant de la chirurgie sont rares, mais celle-ci apporte un complément valable et même indispensable à l'arsenal thérapeutique.The author studies the various modes of treatment used in filariasis chemoprophylaxis in Polynesia. He briefly describes the to-day situation and the results obtained, which he considers as satisfactory. The vector control seems to-day possible only by means of the suppression of larval lodges. As individual therapy, certain microfilaricid agents can be used, but rather early. Surgical cases are rare, but surgery is a valuable, even indispensable, complement of therapy.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L'auteur passe en revue les différents types de traitements employés dans la chimioprophylaxie de la filariose en Polynésie. Il donne un aperçu de la situation actuelle et des résultats obtenus, qu'il estime satisfaisants. La lutte contre le vecteur ne paraît possible à l'heure actuelle que par la suppression des gîtes larvaires. En thérapeutique individuelle certaines macrofilaricides peuvent être employés, mais assez précocément. Les cas relevant de la chirurgie sont rares, mais celle-ci apporte un complément valable et même indispensable à l'arsenal thérapeutique.The author studies the various modes of treatment used in filariasis chemoprophylaxis in Polynesia. He briefly describes the to-day situation and the results obtained, which he considers as satisfactory. The vector control seems to-day possible only by means of the suppression of larval lodges. As individual therapy, certain microfilaricid agents can be used, but rather early. Surgical cases are rare, but surgery is a valuable, even indispensable, complement of therapy. |
Lagraulet, J, Tapu, J, Cuzon, G, Fouques, M Piqûres par les poissons venimeux en Polynésie française. (Article de journal) Dans: Nouvelle Presse Médicale, vol. 2, p. 1893-7, 1973. @article{6293,
title = {Piqûres par les poissons venimeux en Polynésie française.},
author = {J Lagraulet and J Tapu and G Cuzon and M Fouques},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Nouvelle Presse Médicale},
volume = {2},
pages = {1893-7},
abstract = {En Polynésie française, existent de nombreux poissons venimeux. parmi ceux-ci :Les synancées (stone fish) sont responsables de la majorité des accidents, mais ceux que l'on observe sont beaucoup moins graves qu'en Australie. Aucun cas mortel n'a été relevé en Polynésie française depuis de très nombreuses années ;
Les scorpènes provoquent de nombreuses blessures, mais les réactions sont beaucoup moins violentes qu'avec les synancées ;
Les ptéroïs piquent presqu'exclusivement les baigneurs imprudents, et malgré la grande toxicité du venin, les phénomènes observés sont d'une intensité moyenne ;
Les raies, elles, ne provoquent que de très rares blessures, et l'on a pu observer en Polynésie française que des cas bénins.
In French Polynesia, there are numerous poisonous fishes. Among the latter, one may note stone fishes which are responsible for most accidents, but those observed are less serious than those in Australia. There have been no fatal cases in French Polynesia for a number of years.
Scorpion-fish produce numerous wounds, but the reactions are less violent than with the stone fish.
The pterois almost exclusively bite careless bathers and, in spite of the toxicity of the venom, the phenomena observed are of moderate intensity.
Skate-fish produce only rare wounds, and in French Polynesia we have observed only benign cases.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
En Polynésie française, existent de nombreux poissons venimeux. parmi ceux-ci :Les synancées (stone fish) sont responsables de la majorité des accidents, mais ceux que l'on observe sont beaucoup moins graves qu'en Australie. Aucun cas mortel n'a été relevé en Polynésie française depuis de très nombreuses années ; Les scorpènes provoquent de nombreuses blessures, mais les réactions sont beaucoup moins violentes qu'avec les synancées ; Les ptéroïs piquent presqu'exclusivement les baigneurs imprudents, et malgré la grande toxicité du venin, les phénomènes observés sont d'une intensité moyenne ; Les raies, elles, ne provoquent que de très rares blessures, et l'on a pu observer en Polynésie française que des cas bénins. In French Polynesia, there are numerous poisonous fishes. Among the latter, one may note stone fishes which are responsible for most accidents, but those observed are less serious than those in Australia. There have been no fatal cases in French Polynesia for a number of years. Scorpion-fish produce numerous wounds, but the reactions are less violent than with the stone fish. The pterois almost exclusively bite careless bathers and, in spite of the toxicity of the venom, the phenomena observed are of moderate intensity. Skate-fish produce only rare wounds, and in French Polynesia we have observed only benign cases. |
Bagnis, R, Bourligueux, G Un empoisonnement mortel par tortue marine. (Article de journal) Dans: Med Trop, vol. 32, p. 91-6, 1973. @article{6300,
title = {Un empoisonnement mortel par tortue marine.},
author = {R Bagnis and G Bourligueux},
year = {1973},
date = {1973-01-01},
journal = {Med Trop},
volume = {32},
pages = {91-6},
abstract = {Les auteurs rapportent une intoxication familiale par la tortue marine E. Imbricata dans les îles de la Société, qui s'est terminée par la mort de l'un des patients en anurie. Ils exposent brièvement les résultats de leurs investigations en ce qui concerne l'expérimentation des extraits musculaires liposolubles sur la souris.The authors report a familial intoxication by the marine turtle E. Imbricata in the Society islands with death of one patient in a state of anuresis. They briefly expose the results of some biossays on mice with fat soluble extracts.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les auteurs rapportent une intoxication familiale par la tortue marine E. Imbricata dans les îles de la Société, qui s'est terminée par la mort de l'un des patients en anurie. Ils exposent brièvement les résultats de leurs investigations en ce qui concerne l'expérimentation des extraits musculaires liposolubles sur la souris.The authors report a familial intoxication by the marine turtle E. Imbricata in the Society islands with death of one patient in a state of anuresis. They briefly expose the results of some biossays on mice with fat soluble extracts. |
1972 |
Articles de journaux |
Moreau, J P Activité in vitro du L. Tetramisole sur les larves infestantes de Necator americanus. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 64, p. 309-13, 1972. @article{6322,
title = {Activité in vitro du L. Tetramisole sur les larves infestantes de Necator americanus.},
author = {J P Moreau},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {64},
pages = {309-13},
abstract = {L'activité du L. tétramisole a été testée in vitro sur des larves infestantes de Necator americanus maintenues en survie dans le milieu NCTC 109 additionné de 10% de sérum humain décomplémenté. La survie est significativement différente à partir d'une concentration de 0,5 microgramme par ml. Le taux sanguin du L. tétramisole après une prise unique orale de 6 mg/kg est six fois supérieur. On peut donc admettre que le L. tétramisole est actif sur les larves infestantes au cours de leur migration tissulaire.The activity of L. tetramisole has been tried in vitro against the Necator americanus infective larvae, kept in survival in the NCTC 109 medium plus 10% inactivated human serum. The survival is significantly different from a concentration of 0,5 microgram per ml. The L. tetramisole blood level after a single dose per os of 6 mg/kg is six fold higher. We can then think that the L. tetramisole is efficient against the infective larvae during their tissular migration.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L'activité du L. tétramisole a été testée in vitro sur des larves infestantes de Necator americanus maintenues en survie dans le milieu NCTC 109 additionné de 10% de sérum humain décomplémenté. La survie est significativement différente à partir d'une concentration de 0,5 microgramme par ml. Le taux sanguin du L. tétramisole après une prise unique orale de 6 mg/kg est six fois supérieur. On peut donc admettre que le L. tétramisole est actif sur les larves infestantes au cours de leur migration tissulaire.The activity of L. tetramisole has been tried in vitro against the Necator americanus infective larvae, kept in survival in the NCTC 109 medium plus 10% inactivated human serum. The survival is significantly different from a concentration of 0,5 microgram per ml. The L. tetramisole blood level after a single dose per os of 6 mg/kg is six fold higher. We can then think that the L. tetramisole is efficient against the infective larvae during their tissular migration. |
Lagraulet, J, Tapu, J, Cuzon, G, Fabre-Teste, R A propos de l'intoxication par les poissons 'becs de cane'. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 733-7, 1972. @article{6315,
title = {A propos de l'intoxication par les poissons 'becs de cane'.},
author = {J Lagraulet and J Tapu and G Cuzon and R Fabre-Teste},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {733-7},
abstract = {Les auteurs attirent l'attention sur le fait que l'intoxication par les Léthrinidés 'becs de cane' présente, d'après les observations citées, quelques caractères particuliers: les malades sont principalement intoxiqués par la tête et la région thoraco-abdominale du poisson, et l'empoisonnement est relativement grave, avec comme particularités : un temps d'incubation assez long, une légère bradycardie et la rareté de la présence du prurit.The author draws attention to the fact that, according to the observations reported, intoxication by Lethrinides 'duck beak' present some peculiar characteristics : the patients are mainly intoxicated by the head and thoraco-abdominal regions of the fish, the poisoning is relatively severe, with a short incubation time, a slight bradycardia, and the rarity of prurit.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les auteurs attirent l'attention sur le fait que l'intoxication par les Léthrinidés 'becs de cane' présente, d'après les observations citées, quelques caractères particuliers: les malades sont principalement intoxiqués par la tête et la région thoraco-abdominale du poisson, et l'empoisonnement est relativement grave, avec comme particularités : un temps d'incubation assez long, une légère bradycardie et la rareté de la présence du prurit.The author draws attention to the fact that, according to the observations reported, intoxication by Lethrinides 'duck beak' present some peculiar characteristics : the patients are mainly intoxicated by the head and thoraco-abdominal regions of the fish, the poisoning is relatively severe, with a short incubation time, a slight bradycardia, and the rarity of prurit. |
Saugrain, J, Stanghellini, A Aspects de la lèpre en Polynésie française. (Article de journal) Dans: Med Trop, vol. 32, p. 735-41, 1972. @article{6308,
title = {Aspects de la lèpre en Polynésie française.},
author = {J Saugrain and A Stanghellini},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Med Trop},
volume = {32},
pages = {735-41},
abstract = {The origins of leprosy in Oceania are debated. One thing looks certain, i.e., from the second half of the 19th Century, shortly after the arrival of chinese imported cases, the disease evolved and spread quickly.First medical records date from 1784. At this time, 7 Chinese and 1 European lepers were counted in Tahiti.
When an anti hansenian center was created in 1914, 168 lepers were known, 40 p. 100 of whom were lepromatous.
On 1971, 329 patients were known for a population of 100,000 (3.35 p. 100).
The evolution of incidence by 5 years cross sections shows a clear decrease since 1958 for it went from 0.26 p. 1.000 to 0.09 p. 1.000.
Children are very seldom affected. Among 329 patients, 317 are Polynesians, 11 Chinese and one European.
Lepromatous constitute 38.5 p.è 100, indifferentiated 28.8 p. 100, tuberculoïd, 32.7 p. 100.
So, in French Polynesia, leprosy is similar to Asian leprosy, with a high percentage of lepromatous cases, and it differs from African leprosy.
Leprosy in Polynesia is not very prevalent and apparently slightly communicable, but it is a severe disease.
The anti hansenian Orofara Center houses permanently about 60 patients, one fifth of the known cases, and almost all the detected cases have stayed for long periods.
The patients are liable to relapses or reactions and most of them have incurable disabilities.
Therapeutic balance is generally bad. The treatment patterns which have been codified elsewhere can be severely disappointing here, and sulfons as long acting sulfamids must be used carefully and progressively.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
The origins of leprosy in Oceania are debated. One thing looks certain, i.e., from the second half of the 19th Century, shortly after the arrival of chinese imported cases, the disease evolved and spread quickly.First medical records date from 1784. At this time, 7 Chinese and 1 European lepers were counted in Tahiti. When an anti hansenian center was created in 1914, 168 lepers were known, 40 p. 100 of whom were lepromatous. On 1971, 329 patients were known for a population of 100,000 (3.35 p. 100). The evolution of incidence by 5 years cross sections shows a clear decrease since 1958 for it went from 0.26 p. 1.000 to 0.09 p. 1.000. Children are very seldom affected. Among 329 patients, 317 are Polynesians, 11 Chinese and one European. Lepromatous constitute 38.5 p.è 100, indifferentiated 28.8 p. 100, tuberculoïd, 32.7 p. 100. So, in French Polynesia, leprosy is similar to Asian leprosy, with a high percentage of lepromatous cases, and it differs from African leprosy. Leprosy in Polynesia is not very prevalent and apparently slightly communicable, but it is a severe disease. The anti hansenian Orofara Center houses permanently about 60 patients, one fifth of the known cases, and almost all the detected cases have stayed for long periods. The patients are liable to relapses or reactions and most of them have incurable disabilities. Therapeutic balance is generally bad. The treatment patterns which have been codified elsewhere can be severely disappointing here, and sulfons as long acting sulfamids must be used carefully and progressively. |
Saugrain, J, Outin-Fabre, D Bilan de vingt années de lutte contre la filariose subpériodique de Bancroft en Polynésie française. (Article de journal) Dans: Bull Wld Hlth Org, vol. 46, p. 249-52, 1972. @article{6316,
title = {Bilan de vingt années de lutte contre la filariose subpériodique de Bancroft en Polynésie française.},
author = {J Saugrain and D Outin-Fabre},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Wld Hlth Org},
volume = {46},
pages = {249-52},
abstract = {En 1949, la filariose de Bancroft posait un important problème de santé publique à Tahiti : les indices microfilariens étaient de l'ordre de 30% et l'éléphantiasis très fréquent. Différents schémas de prophylaxie, basés essentiellement sur l'emploi de la diéthylcarbamazine, ont été essayés après qu'on eut recensé la population et évalué les indices dans les différents groupes d'îles. Le présent article relate les diverses phases de cette campagne au cours de laquelle les indices parasitaires ont été rapidement abaissés.Entre 1967 et 1970, une reprise de la chimioprophylaxie de masse a permis, à la lumière des résultats de l'expérience pilote de Moorea, une nouvelle amélioration de la situation aboutissant pratiquement à l'interruption de la transmission.
Filariasis caused by Wuchereria bancrofti var. pacifica has been a serious public health problem in Tahiti for many decades, and in 1949 a research institute was established to attack the problem. At that time the microfilarial index was over 30%, the mean microfilaemia rate was 78 ; and 7% of the population was suffering from elephantiasis, while 13% of Aedes polynesiensis, the mosquito vector, were infected by larvae of all stages and 7.4% contained infective larvae.
Between 1953 et 1956 mass chemotherapy with diethylcarbamazine was begun in Tahiti and by 1956 the microfilarial index had fallen to 6%, with mean microfilaremia rate of 24.1, and only 0.7% of Ae. polynesiensis contained infective larvae. In 1956, it was decided to end mass treatments and to continue to treat only positive carriers identified in annual surveys, three different regimens being tested. In 1964 the microfilarial index was 7.2% with a mean microfilariaema rate of 19, and 0.67% of Ae. polynesiensis had infective larvae. The rate of elephantiasis in the population was 1.8%.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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En 1949, la filariose de Bancroft posait un important problème de santé publique à Tahiti : les indices microfilariens étaient de l'ordre de 30% et l'éléphantiasis très fréquent. Différents schémas de prophylaxie, basés essentiellement sur l'emploi de la diéthylcarbamazine, ont été essayés après qu'on eut recensé la population et évalué les indices dans les différents groupes d'îles. Le présent article relate les diverses phases de cette campagne au cours de laquelle les indices parasitaires ont été rapidement abaissés.Entre 1967 et 1970, une reprise de la chimioprophylaxie de masse a permis, à la lumière des résultats de l'expérience pilote de Moorea, une nouvelle amélioration de la situation aboutissant pratiquement à l'interruption de la transmission. Filariasis caused by Wuchereria bancrofti var. pacifica has been a serious public health problem in Tahiti for many decades, and in 1949 a research institute was established to attack the problem. At that time the microfilarial index was over 30%, the mean microfilaemia rate was 78 ; and 7% of the population was suffering from elephantiasis, while 13% of Aedes polynesiensis, the mosquito vector, were infected by larvae of all stages and 7.4% contained infective larvae. Between 1953 et 1956 mass chemotherapy with diethylcarbamazine was begun in Tahiti and by 1956 the microfilarial index had fallen to 6%, with mean microfilaremia rate of 24.1, and only 0.7% of Ae. polynesiensis contained infective larvae. In 1956, it was decided to end mass treatments and to continue to treat only positive carriers identified in annual surveys, three different regimens being tested. In 1964 the microfilarial index was 7.2% with a mean microfilariaema rate of 19, and 0.67% of Ae. polynesiensis had infective larvae. The rate of elephantiasis in the population was 1.8%. |
Bagnis, R Ciguatéra et intervention humaine sur les écosystèmes coralliens en Polynésie française. Marine Pollution and Sea Life. (Article de journal) Dans: FAO Fishing News, p. 597-600, 1972. @article{6312,
title = {Ciguatéra et intervention humaine sur les écosystèmes coralliens en Polynésie française. Marine Pollution and Sea Life.},
author = {R Bagnis},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {FAO Fishing News},
pages = {597-600},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
|
Moreau, J P, Lagraulet, J, Pichon, G, Cuzon, G Différenciation interspécifique de l'hémolymphe des larves d'Aedes (Stegomyia) polynesiensis Marks et d'Aedes (Stegomyia) aegypti Linné. I- Etudes immunologiques. (Article de journal) Dans: Cah ORSTOM Ser Ent Med Parasitol, vol. X, 1972. @article{6310,
title = {Différenciation interspécifique de l'hémolymphe des larves d'Aedes (Stegomyia) polynesiensis Marks et d'Aedes (Stegomyia) aegypti Linné. I- Etudes immunologiques.},
author = {J P Moreau and J Lagraulet and G Pichon and G Cuzon},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Cah ORSTOM Ser Ent Med Parasitol},
volume = {X},
abstract = {La double diffusion en gélose d'Ouchterlony met en évidence quatre arcs de précipitation communs entre l'hémolymphe des larves de quatrième stade d'Aedes polynesiensis et Aedes aegypti. L'analyse immunoélectrophorétique révèle douze arcs communs. Sur le plan immunologique l'identité semble être complète entre l'hémolymphe de ces deux espèces, qui appartiennent au même sous-genre.The Ouchterlony double diffusion test shows four common lines of precipitation between hemolymph of fourth stage arvae of Aedes polynesiensis and Aedes aegypti. The immunoelectrophoretic study reveals twelve common lines. The identity between the components of hemolymph of these species seems to be complete by immonologic study.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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La double diffusion en gélose d'Ouchterlony met en évidence quatre arcs de précipitation communs entre l'hémolymphe des larves de quatrième stade d'Aedes polynesiensis et Aedes aegypti. L'analyse immunoélectrophorétique révèle douze arcs communs. Sur le plan immunologique l'identité semble être complète entre l'hémolymphe de ces deux espèces, qui appartiennent au même sous-genre.The Ouchterlony double diffusion test shows four common lines of precipitation between hemolymph of fourth stage arvae of Aedes polynesiensis and Aedes aegypti. The immunoelectrophoretic study reveals twelve common lines. The identity between the components of hemolymph of these species seems to be complete by immonologic study. |
Lavondes, H, Pichon, G Des nono et des hommes. (Article de journal) Dans: Bulletin de la société des études océaniennes, vol. XV, p. 150-79, 1972. @article{6309,
title = {Des nono et des hommes.},
author = {H Lavondes and G Pichon},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bulletin de la société des études océaniennes},
volume = {XV},
pages = {150-79},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
|
Lagraulet, J, Pichon, G, Outin-Fabre, D, Stanghellini, A, Moreau, J P Enquête épidémiologique sur la filariose lymphatique aux Marquises. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 447-55, 1972. @article{6323,
title = {Enquête épidémiologique sur la filariose lymphatique aux Marquises.},
author = {J Lagraulet and G Pichon and D Outin-Fabre and A Stanghellini and J P Moreau},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {447-55},
abstract = {Les auteurs ont effectué une enquête sur la filariose aux Iles Marquises. 18,4% des sujets présentant une microfilarémie positive. Une goutte épaisse prélevée à l'oreille a permis de dépister des malades qui n'avaient pas été dépistés par un prélèvement effectué au doigt. Sur 2706 habitants 49 étaient porteurs d'éléphantiasis (2,8%), la localisation la plus fréquente était le membre inférieur (81,7%). Les éléphantiasis étant plus fréquents chez les sujets d'origine européenne ou très fortement métissés d'Européen. 3,6% de la population a présenté des poussées de lymphangite en 1971, les hydrocèles, adénolymphocèles et chyluries ont été rarement observées.The authors have carried out a survey on filariosis in the Marquesas. 18.4% of the individuals had a positive microfilaremia. A thick drop carried out from the ear allowed to demonstrate patients who had not been demonstrated by a sample taken from the finger. Out of 2706 inhabitants, 49 were carriers of elephantiasis (2.8%), the most frequent location being the inferior member (81.7%). Elephantiasis was more frequent in European people or in markedly European crossed individuals. In 1971, 3.6% of the population presented lymphangitis attacks. Hydrceles, adenolymphoceles and chyluria were very rare.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les auteurs ont effectué une enquête sur la filariose aux Iles Marquises. 18,4% des sujets présentant une microfilarémie positive. Une goutte épaisse prélevée à l'oreille a permis de dépister des malades qui n'avaient pas été dépistés par un prélèvement effectué au doigt. Sur 2706 habitants 49 étaient porteurs d'éléphantiasis (2,8%), la localisation la plus fréquente était le membre inférieur (81,7%). Les éléphantiasis étant plus fréquents chez les sujets d'origine européenne ou très fortement métissés d'Européen. 3,6% de la population a présenté des poussées de lymphangite en 1971, les hydrocèles, adénolymphocèles et chyluries ont été rarement observées.The authors have carried out a survey on filariosis in the Marquesas. 18.4% of the individuals had a positive microfilaremia. A thick drop carried out from the ear allowed to demonstrate patients who had not been demonstrated by a sample taken from the finger. Out of 2706 inhabitants, 49 were carriers of elephantiasis (2.8%), the most frequent location being the inferior member (81.7%). Elephantiasis was more frequent in European people or in markedly European crossed individuals. In 1971, 3.6% of the population presented lymphangitis attacks. Hydrceles, adenolymphoceles and chyluria were very rare. |
Moreau, J P, Outin-Fabre, D Essais in vitro de la diéthylcarbamazine. II. Activité sur les larves infestantes de W. bancrofti var. pacifica. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 98-103, 1972. @article{6320,
title = {Essais in vitro de la diéthylcarbamazine. II. Activité sur les larves infestantes de W. bancrofti var. pacifica.},
author = {J P Moreau and D Outin-Fabre},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {98-103},
abstract = {L'activité de la DEC in vitro sur les larves infestantes de W. bancrofti est inexistante pour des concentrations bien supérieures aux taux sériques obtenus chez l'homme après des prises orales de doses qui ne sauraient être dépassées sans entraîner d'effets secondaires fâcheux. Les mêmes conclusions ont été tirées en ce qui concerne son activité sur les microfilaires. Il s'agit là d'un cas unique et paradoxal ; la DEC est en effet le seul antihelminthique connu actif in vivo et sans action apparente in vitro. De nombreuses théories ont été avancées dont Bangham a fait la synthèse mais dont aucune n'est entièrement satisfaisante.The diethylcarbamazine (DEC) activity is tried in vitro on infective larvae of Wuchereria bancrofti var. pacifica. The medium 199 Parker, in Hanks solution with 30% of colt sera added, is employed. This medium allows to maintain in survival 50% of infective larvae during 33 days at 24°C and 13 days at 37°C. The DEC has no action in vitro on the survival of larvae with concentration accepted by human patient. It is the same thing for the microfilariae. The mode of action of DEC is always unknown.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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L'activité de la DEC in vitro sur les larves infestantes de W. bancrofti est inexistante pour des concentrations bien supérieures aux taux sériques obtenus chez l'homme après des prises orales de doses qui ne sauraient être dépassées sans entraîner d'effets secondaires fâcheux. Les mêmes conclusions ont été tirées en ce qui concerne son activité sur les microfilaires. Il s'agit là d'un cas unique et paradoxal ; la DEC est en effet le seul antihelminthique connu actif in vivo et sans action apparente in vitro. De nombreuses théories ont été avancées dont Bangham a fait la synthèse mais dont aucune n'est entièrement satisfaisante.The diethylcarbamazine (DEC) activity is tried in vitro on infective larvae of Wuchereria bancrofti var. pacifica. The medium 199 Parker, in Hanks solution with 30% of colt sera added, is employed. This medium allows to maintain in survival 50% of infective larvae during 33 days at 24°C and 13 days at 37°C. The DEC has no action in vitro on the survival of larvae with concentration accepted by human patient. It is the same thing for the microfilariae. The mode of action of DEC is always unknown. |
Moreau, J P, Outin-Fabre, D Essais in vitro de la diéthylcarbamazine. I. Activité sur les microfilaires de Wuchereria bancrofti variété pacifica. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 93-8, 1972. @article{6319,
title = {Essais in vitro de la diéthylcarbamazine. I. Activité sur les microfilaires de Wuchereria bancrofti variété pacifica.},
author = {J P Moreau and D Outin-Fabre},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {93-8},
abstract = {L'activité de la diéthylcarbamazine a été testée in vitro sur des microfilaires de Wuchereria bancrofti variété pacifica, maintenues en survie dans le milieu 199 de Parker en solution de Hanks additionné de 10% de sérum de poulain. Le temps de survie n'est significativement différent qu'à partir d'une concentration de diéthylcarbamazine de 100 mg par millilitre, soit un taux 20 fois supérieur au taux sanguin trouvé chez l'homme après une prise orale de 10 mg par kilo de poids. Il est établi que la diéthylcarbamazine fait disparaître très rapidement les microfilaires du sang circulant. Par contre, in vitro son action apparaît comme nulle et on ne peut affirmer que ce produit est un microfilaricide.The diethylcarbamazine (DEC) action is tried in vitro on microfilariae of Wuchereria bancrofti var. pacifica maintained in survival in the medium 199 with Hanks solution and 10% of colt sera added. The survival time is significantly different when the DEC concentration reaches 200 mg per ml., that is to say a level forty times upper than the level found in the circulating blood after ingestion of 10 mg per kilo of body weight. It is established that DEC determines an important and rapid decrease in the number of circulating microfilariae. On the contrary DEC seems to have no action in vitro and it is difficult to affirm this drug is directly toxic to microfilariae.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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L'activité de la diéthylcarbamazine a été testée in vitro sur des microfilaires de Wuchereria bancrofti variété pacifica, maintenues en survie dans le milieu 199 de Parker en solution de Hanks additionné de 10% de sérum de poulain. Le temps de survie n'est significativement différent qu'à partir d'une concentration de diéthylcarbamazine de 100 mg par millilitre, soit un taux 20 fois supérieur au taux sanguin trouvé chez l'homme après une prise orale de 10 mg par kilo de poids. Il est établi que la diéthylcarbamazine fait disparaître très rapidement les microfilaires du sang circulant. Par contre, in vitro son action apparaît comme nulle et on ne peut affirmer que ce produit est un microfilaricide.The diethylcarbamazine (DEC) action is tried in vitro on microfilariae of Wuchereria bancrofti var. pacifica maintained in survival in the medium 199 with Hanks solution and 10% of colt sera added. The survival time is significantly different when the DEC concentration reaches 200 mg per ml., that is to say a level forty times upper than the level found in the circulating blood after ingestion of 10 mg per kilo of body weight. It is established that DEC determines an important and rapid decrease in the number of circulating microfilariae. On the contrary DEC seems to have no action in vitro and it is difficult to affirm this drug is directly toxic to microfilariae. |
Lagraulet, J, Barsinas, M, Fagneaux, G Hétérogénéité de la répartition des microfilaires dans le sang périphérique chez les malades atteints de filariose de Bancroft et aperçu général sur la filariose aux Marquises. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 698-703, 1972. @article{6325,
title = {Hétérogénéité de la répartition des microfilaires dans le sang périphérique chez les malades atteints de filariose de Bancroft et aperçu général sur la filariose aux Marquises.},
author = {J Lagraulet and M Barsinas and G Fagneaux},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {698-703},
abstract = {L'auteur donne un bref aperçu sur les problèmes de la filariose aux Marquises où il a décelé 5% d'éléphantiasis chez les adultes, et un nombre important d'autres lésions cliniques, qui donnent à cette endémie une allure grave. Il a pratiqué chez 22 malades, 5 prélèvements de 20 mm3 de sang, en différents endroits du corps et il a pu noter que la plus grande concentration de microfilaires se trouvait dans les prélèvements effectués au doigt. Par ailleurs, il insiste sur l'intérêt qu'il y a à faire en plus, un prélèvement à l'oreille, car ce type de prélèvement lui a permis de dépister 9,5% de porteurs qui n'avaient pas été dépistés par une goutte épaisse effectuée seulement au doigt.Brief review of the filariosis problem in the Marquesas, where the author has demonstrated 5% elephantiasis in adults and a high number of other clinical lesions, which confer to this endemic a severe character. He has taken blood from 22 patients (5 times 20 mm3 at different places of the body) ; the highest filaria concentration is in the finger blood. On the other hand, the author emphasizes the importance of taking blood from the ear : this technique allowed to demonstrate 9.5% of carriers who had not been detected by a thick drop from the finger blood.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L'auteur donne un bref aperçu sur les problèmes de la filariose aux Marquises où il a décelé 5% d'éléphantiasis chez les adultes, et un nombre important d'autres lésions cliniques, qui donnent à cette endémie une allure grave. Il a pratiqué chez 22 malades, 5 prélèvements de 20 mm3 de sang, en différents endroits du corps et il a pu noter que la plus grande concentration de microfilaires se trouvait dans les prélèvements effectués au doigt. Par ailleurs, il insiste sur l'intérêt qu'il y a à faire en plus, un prélèvement à l'oreille, car ce type de prélèvement lui a permis de dépister 9,5% de porteurs qui n'avaient pas été dépistés par une goutte épaisse effectuée seulement au doigt.Brief review of the filariosis problem in the Marquesas, where the author has demonstrated 5% elephantiasis in adults and a high number of other clinical lesions, which confer to this endemic a severe character. He has taken blood from 22 patients (5 times 20 mm3 at different places of the body) ; the highest filaria concentration is in the finger blood. On the other hand, the author emphasizes the importance of taking blood from the ear : this technique allowed to demonstrate 9.5% of carriers who had not been detected by a thick drop from the finger blood. |
Lagraulet, J, Pichon, G, Cuzon, G L'éléphantiasis aux Iles Marquises. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 437-47, 1972. @article{6324,
title = {L'éléphantiasis aux Iles Marquises.},
author = {J Lagraulet and G Pichon and G Cuzon},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {437-47},
abstract = {Dans les îles Marquises, où la prévalence de la microfilarémie varie de 1 à 40 suivant les vallées, les auteurs ont examiné 55 éléphantiasis et ils ont observé les faits suivants :Dans cet archipel, cette infirmité est une complication relativement fréquente. Elle touche principalement les hommes, et siège surtout aux membres inférieurs. 8,2% des personnes âgées de 40 à 69 ans sont atteintes d'éléphantiasis. Elle est rarement accompagnée d'une microfilarémie positive. Les auteurs estiment que la filariose revêt aux Marquises une forme particulièrement grave. In the Marquesas, where the incidence of microfilaremia varies from 1 to 40 according to the valleys, the authors have studied 55 cases of elephantiasis and observed the following facts :
In this archipelago, elephantiasis is a rather frequent complication. Its concerns mostly men and inferior members. 8.2% of the 40-69 years old people suffer from elephantiasis. It is rarely associated with a positive filaremia. The authors think that filariosis is particularly severe in the Marquesas.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Dans les îles Marquises, où la prévalence de la microfilarémie varie de 1 à 40 suivant les vallées, les auteurs ont examiné 55 éléphantiasis et ils ont observé les faits suivants :Dans cet archipel, cette infirmité est une complication relativement fréquente. Elle touche principalement les hommes, et siège surtout aux membres inférieurs. 8,2% des personnes âgées de 40 à 69 ans sont atteintes d'éléphantiasis. Elle est rarement accompagnée d'une microfilarémie positive. Les auteurs estiment que la filariose revêt aux Marquises une forme particulièrement grave. In the Marquesas, where the incidence of microfilaremia varies from 1 to 40 according to the valleys, the authors have studied 55 cases of elephantiasis and observed the following facts : In this archipelago, elephantiasis is a rather frequent complication. Its concerns mostly men and inferior members. 8.2% of the 40-69 years old people suffer from elephantiasis. It is rarely associated with a positive filaremia. The authors think that filariosis is particularly severe in the Marquesas. |
Moreau, J P, Cuzon, G, Pichon, G, Outin-Fabre, D, Lagraulet, J Les protéines sériques du filarien lymphatique à Wuchereria bancrofti variété pacifica. Etude électrophorétique et dosage immunologique des immunoglobules à M, G, E. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 456-63, 1972. @article{6321,
title = {Les protéines sériques du filarien lymphatique à Wuchereria bancrofti variété pacifica. Etude électrophorétique et dosage immunologique des immunoglobules à M, G, E.},
author = {J P Moreau and G Cuzon and G Pichon and D Outin-Fabre and J Lagraulet},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {456-63},
abstract = {L'étude électrophorétique du sérum des filariens lymphatiques à Wuchereria bancrofti var. pacifica à microfilarémie positive, indemnes de lésions chroniques et avant tout traitement révèle une augmentation très nette des gamma globulines. Le dosage des immunoglobulines met en évidence l'augmentation des IgG et des IgE.The study by electrophoresis of sera of people who had a lymphatic filariasis by Wuchereria bancrofti var. pacifica, shows an incontestable increase of gamma globulins. These patients were carriers of microfilariae but had no chronic lesions and did not receive any treatments previously. The dosage of immunoglobulins reveals an increase of IgG and IgE.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L'étude électrophorétique du sérum des filariens lymphatiques à Wuchereria bancrofti var. pacifica à microfilarémie positive, indemnes de lésions chroniques et avant tout traitement révèle une augmentation très nette des gamma globulines. Le dosage des immunoglobulines met en évidence l'augmentation des IgG et des IgE.The study by electrophoresis of sera of people who had a lymphatic filariasis by Wuchereria bancrofti var. pacifica, shows an incontestable increase of gamma globulins. These patients were carriers of microfilariae but had no chronic lesions and did not receive any treatments previously. The dosage of immunoglobulins reveals an increase of IgG and IgE. |
Lagraulet, J, Cuzon, G Les empoisonnements par les poissons en pays tropicaux. (Article de journal) Dans: Concours médical, vol. 8, p. 5282-93, 1972. @article{6314,
title = {Les empoisonnements par les poissons en pays tropicaux.},
author = {J Lagraulet and G Cuzon},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Concours médical},
volume = {8},
pages = {5282-93},
abstract = {Alors que l'on envisage d'intensifier au maximum la distribution dans le monde de protéines animales venant de la mer on s'aperçoit que les poissons tropicaux deviennent de plus en plus toxiques. Les auteurs donnent un aperçu sur les problèmes récents posés par l'ichtyosarcotoxisme et rapportent l'analyse de 50 cas cliniques. Ils pensent que, bien que la formule chimique des principales toxines soit maintenant établie, il y a encore un très grand pas à franchir avant de parvenir au contrôle de l'endémie.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Alors que l'on envisage d'intensifier au maximum la distribution dans le monde de protéines animales venant de la mer on s'aperçoit que les poissons tropicaux deviennent de plus en plus toxiques. Les auteurs donnent un aperçu sur les problèmes récents posés par l'ichtyosarcotoxisme et rapportent l'analyse de 50 cas cliniques. Ils pensent que, bien que la formule chimique des principales toxines soit maintenant établie, il y a encore un très grand pas à franchir avant de parvenir au contrôle de l'endémie. |
Bagnis, R La ciguatera : un problème original d'océanographie médicale. Nouvelle tentative d'explication de sa cause. (Article de journal) Dans: Médecine d'Afrique noire, vol. 19, p. 27-34, 1972. @article{6313,
title = {La ciguatera : un problème original d'océanographie médicale. Nouvelle tentative d'explication de sa cause.},
author = {R Bagnis},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Médecine d'Afrique noire},
volume = {19},
pages = {27-34},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
|
Lagraulet, J, Tapu, J, Vidal, R, Fouques, M Les morsures par requins en Polynésie française. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 592-605, 1972. @article{6306,
title = {Les morsures par requins en Polynésie française.},
author = {J Lagraulet and J Tapu and R Vidal and M Fouques},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {592-605},
abstract = {Les auteurs donnent quelques indications sur le comportement des requins en Polynésie française et relatent 14 observations de personnes blessées. Sept furent provoquées par Carcharhinus menissorah. Les requins de petite taille sont les plus agressifs et sont responsables de la majorité des accidents. Ils attaquent brutalement et directement. Les blessures mortelles sont absolument exceptionnelles et les blessures graves représentent seulement la moitié des cas.The authors describe the shark's behaviour in French Polynesia and 14 observations on wounded individuals. Seven wounds were caused by Carcharhinus menissorah. Small size sharks are the most aggressive and are responsible for the greatest number of accidents : they brutally and directly attack ; lethal injuries are exceptional and severe injuries represent only half of the cases.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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Les auteurs donnent quelques indications sur le comportement des requins en Polynésie française et relatent 14 observations de personnes blessées. Sept furent provoquées par Carcharhinus menissorah. Les requins de petite taille sont les plus agressifs et sont responsables de la majorité des accidents. Ils attaquent brutalement et directement. Les blessures mortelles sont absolument exceptionnelles et les blessures graves représentent seulement la moitié des cas.The authors describe the shark's behaviour in French Polynesia and 14 observations on wounded individuals. Seven wounds were caused by Carcharhinus menissorah. Small size sharks are the most aggressive and are responsible for the greatest number of accidents : they brutally and directly attack ; lethal injuries are exceptional and severe injuries represent only half of the cases. |
Pichon, G, Perrault, G, Cuzon, G, Lagraulet, J Note technique : Confection de tubes grillagés pour la manipulation individuelle de moustiques adultes. (Article de journal) Dans: Cah ORSTOM Ser Ent Med Parasitol, vol. X, p. 327-30, 1972. @article{6311,
title = {Note technique : Confection de tubes grillagés pour la manipulation individuelle de moustiques adultes.},
author = {G Pichon and G Perrault and G Cuzon and J Lagraulet},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Cah ORSTOM Ser Ent Med Parasitol},
volume = {X},
pages = {327-30},
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pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
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Outin-Fabre, D, Moreau, J P, Stanghellini, A Physionomie actuelle de l'endémie filarienne en Polynésie et son contrôle. Recherches en cours. (Article de journal) Dans: Médecine d'Afrique noire, vol. 19, p. 89-92, 1972. @article{6317,
title = {Physionomie actuelle de l'endémie filarienne en Polynésie et son contrôle. Recherches en cours.},
author = {D Outin-Fabre and J P Moreau and A Stanghellini},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Médecine d'Afrique noire},
volume = {19},
pages = {89-92},
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pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
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Lagraulet, J, Tapu, J, Cuzon, G, Fabre-Teste, R, Toudic, A Quelques observations récentes sur les piqûres par poissons venimeux du genre Synanceja et étude disc-électrophorétique de leur venin. (Article de journal) Dans: Bull Soc Pathol Exot, vol. 65, p. 605-21, 1972. @article{6307,
title = {Quelques observations récentes sur les piqûres par poissons venimeux du genre Synanceja et étude disc-électrophorétique de leur venin.},
author = {J Lagraulet and J Tapu and G Cuzon and R Fabre-Teste and A Toudic},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Soc Pathol Exot},
volume = {65},
pages = {605-21},
abstract = {Les auteurs donnent un aperçu sur la biologie et le comportement des synancées qui piquent chaque année plus de 60 personnes en Polynésie française. Ils relatent onze observations, d'après lesquelles, il ressort que les malades sont généralement piqués aux pieds, et dans des eaux peu profondes à fonds vasards. Une douleur extrêmement vive et l'apparition d'un oedème important sont de règle. Ils disparaissent généralement en quelques jours, mais des complications peuvent apparaître parmi lesquelles des infections locales, des signes cardiaques et même des signes neurologiques. Si le traitement n'est pas institué précocement, on peut assister à des phénomènes de nécrose qui peuvent nécessiter des greffes cutanées. L'importance des signes cliniques est en rapport avec la grosseur du poisson, la profondeur des blessures et le nombre de piqûres reçues. L'étude disc-électrophorétique montre que deux fractions protéiques paraissent être spécifiques du venin de ces poissons.The authors report a brief study on the biology and comportment of synanceae which every year bite more than 60 persons in French Polynesia. They report 11 cases, which show that patients are generally bitten at the feet, and in shallow, muddy waters. A very acute pain and the appearance of a significant oedema are the rule ; they generally disappear within a few days, but complications may appear : local infections, cardiac and even neurologic symptoms. If an early treatment is not applied, necrosis phenomena may occur, which may require skin grafts. The importance of clinical symptoms is related with the fish size, the wound deepness, and the number of bites. A disc electrophoretic study shows that two protein fractions seem to be specific for this fish venom.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
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Les auteurs donnent un aperçu sur la biologie et le comportement des synancées qui piquent chaque année plus de 60 personnes en Polynésie française. Ils relatent onze observations, d'après lesquelles, il ressort que les malades sont généralement piqués aux pieds, et dans des eaux peu profondes à fonds vasards. Une douleur extrêmement vive et l'apparition d'un oedème important sont de règle. Ils disparaissent généralement en quelques jours, mais des complications peuvent apparaître parmi lesquelles des infections locales, des signes cardiaques et même des signes neurologiques. Si le traitement n'est pas institué précocement, on peut assister à des phénomènes de nécrose qui peuvent nécessiter des greffes cutanées. L'importance des signes cliniques est en rapport avec la grosseur du poisson, la profondeur des blessures et le nombre de piqûres reçues. L'étude disc-électrophorétique montre que deux fractions protéiques paraissent être spécifiques du venin de ces poissons.The authors report a brief study on the biology and comportment of synanceae which every year bite more than 60 persons in French Polynesia. They report 11 cases, which show that patients are generally bitten at the feet, and in shallow, muddy waters. A very acute pain and the appearance of a significant oedema are the rule ; they generally disappear within a few days, but complications may appear : local infections, cardiac and even neurologic symptoms. If an early treatment is not applied, necrosis phenomena may occur, which may require skin grafts. The importance of clinical symptoms is related with the fish size, the wound deepness, and the number of bites. A disc electrophoretic study shows that two protein fractions seem to be specific for this fish venom. |
Moreau, J P, Lagraulet, J Survie in vitro des larves de troisième stade d'Angiostrongylus cantonenesis. Etude de l'activité du L.Tetramisole dans le milieu NCTC 109. (Article de journal) Dans: Ann Parasitol, vol. XLVII, p. 525-9, 1972. @article{6305,
title = {Survie in vitro des larves de troisième stade d'Angiostrongylus cantonenesis. Etude de l'activité du L.Tetramisole dans le milieu NCTC 109.},
author = {J P Moreau and J Lagraulet},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Ann Parasitol},
volume = {XLVII},
pages = {525-9},
abstract = {La survie des larves de troisième stade d'Angiostrongylus cantonensis a été testée in vitro dans différents milieux. A 37°C, les meilleurs résultats ont été obtenus avec le milieu NCTC 109 additionné de 30% de sérum humain décomplémenté. L'activité in vitro du L. Tetramisole sur les larves de troisième stade d'A. cantonensis a été testée dans ce milieu. Le produit s'est révélé très actif à des doses très faibles.The in vitro survival of the third stage larvae of Angiostrongylus cantonensis was tested in several media. At 37°C the best results was obtained with the NCTC 109 plus 30% inactivated human serum. The in vitro activity of L. Tetramisole on the third stage larvae of A. cantonensis was tried in this medium. This product is very active at very low concentrations.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
La survie des larves de troisième stade d'Angiostrongylus cantonensis a été testée in vitro dans différents milieux. A 37°C, les meilleurs résultats ont été obtenus avec le milieu NCTC 109 additionné de 30% de sérum humain décomplémenté. L'activité in vitro du L. Tetramisole sur les larves de troisième stade d'A. cantonensis a été testée dans ce milieu. Le produit s'est révélé très actif à des doses très faibles.The in vitro survival of the third stage larvae of Angiostrongylus cantonensis was tested in several media. At 37°C the best results was obtained with the NCTC 109 plus 30% inactivated human serum. The in vitro activity of L. Tetramisole on the third stage larvae of A. cantonensis was tried in this medium. This product is very active at very low concentrations. |
Outin-Fabre, D, Saugrain, J, Stanghellini, A, Pichon, G Une expérience pilote de campagne antifilarienne en milieu insulaire (Moorea, Polynésie française). (Article de journal) Dans: Bull Wld Hlth Org, vol. 46, p. 253-6, 1972. @article{6318,
title = {Une expérience pilote de campagne antifilarienne en milieu insulaire (Moorea, Polynésie française).},
author = {D Outin-Fabre and J Saugrain and A Stanghellini and G Pichon},
year = {1972},
date = {1972-01-01},
journal = {Bull Wld Hlth Org},
volume = {46},
pages = {253-6},
abstract = {L'expérience pilote de Moorea a permis d'approcher l'interruption de la transmission de la filariose subpériodique de Bancroft en Polynésie française. La méthode préconisée à la suite de ses conclusions, méthode valable dans le contexte insulaire particulier de cette zone géographique, associe le traitement à doses curatives des porteurs de microfilaires à une prophylaxie de masse touchant l'ensemble de la population de plus d'un an d'âge et consistant en une distribution trimestrielle de 6 mg de diéthylcarbamazine par kilo de poids corporel. Ces résultats ont été obtenus à l'exclusion de toute action contre le vecteur.Filariasis caused by Wuchereria bancrofti var. pacifica has been a serious public health problem in French Polynesia for many decades. In 1956, the island of Moorea adjacent to Tahitit was chosen as the site of a mass chemotherapy campaign. At that time the microfilaria index was 27% with a mean microfilaraemia rate of 52. During 1 year between 1956 and 1957, a monthly dose of 6 mg of diethylcarbamazine per kg of body weight was distributed to the whole population over 1 year of age. As a result of the campaign, the microfilaria index fell to 7.6% with a mean microfilaraemia rate of 17.5. On the basis of these results, it was decided to treat only positive carriers identified in annual survey during the rest of the campaign.
In 1966, a survey showed that the microfilaria index (7.3%) and the microfilaraemia rate (18.9) had remained practically stationary. It was recognized that treatment schedules limited to positive carriers only present certain risks, and a new pilot mass chemotherapy campaign was started in Moorea (population 4300). Two zones were designated ; in zone 1, carriers discovered in a 1966 survey received 4 treatments at 2-month intervals of 6 mg of diethylcarbamazine per kg between July 1966 and January 1967. In zone 2, carriers received similar treatment from June to December while the rest of the population received a single dose of 6 mg of diethylcarbamazine per kg in September-October.
A survey in zone 1 in April-September 1967 showed that the number of carriers was little changed - namely, 6.85% against 6.58% - and the mean parasitaemia rate was 14.15 against 18.85. In zone 2, however, the microfilaria index fell from 7.7% to 4.1% and the microfilaraemia rate from 18.85 to 14.15. From April 1967 in zone 2, and August 1967 in zone 1, mass treatment was given to the entire population. A single dose of 6 mg of diethylcarbamazine per kg was given every 2 or 3 months to all persons, including carriers. This programme was planned to last 3 years, i.e., a total dosage of 72 mg of diethylcarbamazine per kg. After 18 months the microfilaria index had fallen from 5.12% to 2.20% and of 207 carriers in 1967, 123 were negative, 33 were still positive, and 51 escaped the survey. The microfilaria index in children aged 1-14 years in 1969 was 2.32% compared with 13.03% in 1967, while the index in persons aged 15-24 years fell from 17.39% to 12.79%. The number of new cases fell from 33/4 044 (8.16 per 1 000 before the treatment to 6/3 905 (1.54 per 1 000) after treatment. However, the microfilaraemia rate in carriers rose and the proportion with 30-100 larvae increased from 7.24% to 14.34%, while the DMf50 rose from 3-4 to 8-9. An 18-day course of treatment for carriers was therefore started ; the treatment schedule being 12 progressive daily doses of diethylcarbamazine, then 6 daily doses of 6 mg per kg, followed by single monthly doses of 6 mg per kg for 1 year.
At the beginning of 1971, after 3 years of mass treatment, there were 49 carriers out of a population of 4 361 (1.12%), the mean microfilaraemia rate was 10.35, and the DMf50 was 5. Taking into consideration the fact that 7 carriers out of 49 (14.3%) refused treatment, the prevalence of carriers in Moorea can be estimated at 1%, compared with 7% during the treatment of carriers only and 2.2% after 18 months of renewed mass treatment. The number of new infections during the last 18 months of the trial was 9 (2.06 per 1 000), but no schoolchild became infected.
An examination of 470 Aedes polynesiensis mosquitos, the vector species, collected in the neighbourhood of carriers' homes at the beginning of 1971 showed that only one contained a stage 1 larva and that some none harboured infective larvae. No vector control measure were taken against Ae. polynesiensis during the mass chemotherapy campaign.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L'expérience pilote de Moorea a permis d'approcher l'interruption de la transmission de la filariose subpériodique de Bancroft en Polynésie française. La méthode préconisée à la suite de ses conclusions, méthode valable dans le contexte insulaire particulier de cette zone géographique, associe le traitement à doses curatives des porteurs de microfilaires à une prophylaxie de masse touchant l'ensemble de la population de plus d'un an d'âge et consistant en une distribution trimestrielle de 6 mg de diéthylcarbamazine par kilo de poids corporel. Ces résultats ont été obtenus à l'exclusion de toute action contre le vecteur.Filariasis caused by Wuchereria bancrofti var. pacifica has been a serious public health problem in French Polynesia for many decades. In 1956, the island of Moorea adjacent to Tahitit was chosen as the site of a mass chemotherapy campaign. At that time the microfilaria index was 27% with a mean microfilaraemia rate of 52. During 1 year between 1956 and 1957, a monthly dose of 6 mg of diethylcarbamazine per kg of body weight was distributed to the whole population over 1 year of age. As a result of the campaign, the microfilaria index fell to 7.6% with a mean microfilaraemia rate of 17.5. On the basis of these results, it was decided to treat only positive carriers identified in annual survey during the rest of the campaign. In 1966, a survey showed that the microfilaria index (7.3%) and the microfilaraemia rate (18.9) had remained practically stationary. It was recognized that treatment schedules limited to positive carriers only present certain risks, and a new pilot mass chemotherapy campaign was started in Moorea (population 4300). Two zones were designated ; in zone 1, carriers discovered in a 1966 survey received 4 treatments at 2-month intervals of 6 mg of diethylcarbamazine per kg between July 1966 and January 1967. In zone 2, carriers received similar treatment from June to December while the rest of the population received a single dose of 6 mg of diethylcarbamazine per kg in September-October. A survey in zone 1 in April-September 1967 showed that the number of carriers was little changed - namely, 6.85% against 6.58% - and the mean parasitaemia rate was 14.15 against 18.85. In zone 2, however, the microfilaria index fell from 7.7% to 4.1% and the microfilaraemia rate from 18.85 to 14.15. From April 1967 in zone 2, and August 1967 in zone 1, mass treatment was given to the entire population. A single dose of 6 mg of diethylcarbamazine per kg was given every 2 or 3 months to all persons, including carriers. This programme was planned to last 3 years, i.e., a total dosage of 72 mg of diethylcarbamazine per kg. After 18 months the microfilaria index had fallen from 5.12% to 2.20% and of 207 carriers in 1967, 123 were negative, 33 were still positive, and 51 escaped the survey. The microfilaria index in children aged 1-14 years in 1969 was 2.32% compared with 13.03% in 1967, while the index in persons aged 15-24 years fell from 17.39% to 12.79%. The number of new cases fell from 33/4 044 (8.16 per 1 000 before the treatment to 6/3 905 (1.54 per 1 000) after treatment. However, the microfilaraemia rate in carriers rose and the proportion with 30-100 larvae increased from 7.24% to 14.34%, while the DMf50 rose from 3-4 to 8-9. An 18-day course of treatment for carriers was therefore started ; the treatment schedule being 12 progressive daily doses of diethylcarbamazine, then 6 daily doses of 6 mg per kg, followed by single monthly doses of 6 mg per kg for 1 year. At the beginning of 1971, after 3 years of mass treatment, there were 49 carriers out of a population of 4 361 (1.12%), the mean microfilaraemia rate was 10.35, and the DMf50 was 5. Taking into consideration the fact that 7 carriers out of 49 (14.3%) refused treatment, the prevalence of carriers in Moorea can be estimated at 1%, compared with 7% during the treatment of carriers only and 2.2% after 18 months of renewed mass treatment. The number of new infections during the last 18 months of the trial was 9 (2.06 per 1 000), but no schoolchild became infected. An examination of 470 Aedes polynesiensis mosquitos, the vector species, collected in the neighbourhood of carriers' homes at the beginning of 1971 showed that only one contained a stage 1 larva and that some none harboured infective larvae. No vector control measure were taken against Ae. polynesiensis during the mass chemotherapy campaign. |
1971 |
Articles de journaux |
Kessel, J-F A review of the filariasis control programme in Tahiti from November 1967 to January 1968. (Article de journal) Dans: Bull Wld Hlth Org, vol. 44, p. 783-94, 1971. @article{6332,
title = {A review of the filariasis control programme in Tahiti from November 1967 to January 1968.},
author = {J-F Kessel},
year = {1971},
date = {1971-01-01},
journal = {Bull Wld Hlth Org},
volume = {44},
pages = {783-94},
abstract = {Des enquêtes sur la filariose menées à Tahiti peu de temps après la deuxième guerre mondiale ont montré le taux de prévalence le plus élevé du Pacifique sud : l'indice microfilarien atteignait 25 à 44%, la fréquence de l'éléphantiasis était de 5% et la densité microfilarienne médiane (DMf50) variait de 18 à 31.En 1950, le district de Vairao, comptant 825 habitants a été choisi comme secteur témoin où le traitement par la diéthylcarbamazine a été retardé jusqu'en 1956. L'indice microfilarien était de 30,9% en 1950 et de 31,7% en 1956 avec des DMf50 de 28 et 26 respectivement. En 1960, après 4 ans de traitement de masse, l'indice microfilarien et la DMf50 s'étaient abaissés à 3% et 3,0.
Dans les districts de Mataiea et de Tautira, les indices microfilariens étaient de 39% et 27% en 1950 (avant tout traitement) avec des DMf50 de 23 et 18. En 1958, 3 à 4 ans après la fin du traitement de masse, les indices étaient de 4,9% (Mataiea) et de 3,3% (Tautira) et les DMf50 de 4,5 (Mataiea) et de 4,0 (Tautira). En 1966, les valeurs s'établissaient aux taux suivants : indices microfilariens : 5,2% (Mataiea) et 4,0% (Tautira) et DMf50 : 3,5 (Mataiea) et 3,5 (Tautira).
Les essais de chimioprophylaxie de masse ont montré que l'administration une fois par mois d'une dose de diéthylcarbamazine de 6 mg par kilo de poids corporel pendant 12 mois (dose totale : 72 mg/kg) constituait le schéma minimal pour une lutte efficace contre la filariose. Comme mesure complémentaire, on n'a eu recours qu'à la destruction des gîtes larvaires dans un périmètre de 100 m autour de chaque habitation. La meilleure méthode pour évaluer les progrès d'un programme est probablement de comparer avant et après le traitement les indices microfilariens et les proportions de larves de Wuchereria bancrofti au stade infectant chez les moustiques.
District filariasis surveys in Tahiti in the years after the Second World War yielded the highest microfilaria rates in the South Pacific area, ranging from 25% to 44% ; the mean elephantiasis rate was 5% and microfilarial densities (MfD50) ranged from 18 to 31. A co-operative filariasis research programme was begun and a control programme was inaugurated in 1953, using diethylcarbamazine therapy supported by mosquito larvae control measures. By 1959 fifteen districts had received mass treatment. Re-examination after 12 months showed that the mean microfilaria rate had dropped from 31% to 3% and the MfD50 from 23 to 4. Subsequently, only positives were re-treated and by 1964 the microfilaria rate had risen to 6.8%. The increase caused concern and the significance of this reservoir of infection was investigated.
Administration of diethylcarbamazine in periodic mass treatments only in American Samoa began in 1963 and was accompanied by a drop in the microfilaria rate to less than 1%, leading to interruption of transmission in some areas.},
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Des enquêtes sur la filariose menées à Tahiti peu de temps après la deuxième guerre mondiale ont montré le taux de prévalence le plus élevé du Pacifique sud : l'indice microfilarien atteignait 25 à 44%, la fréquence de l'éléphantiasis était de 5% et la densité microfilarienne médiane (DMf50) variait de 18 à 31.En 1950, le district de Vairao, comptant 825 habitants a été choisi comme secteur témoin où le traitement par la diéthylcarbamazine a été retardé jusqu'en 1956. L'indice microfilarien était de 30,9% en 1950 et de 31,7% en 1956 avec des DMf50 de 28 et 26 respectivement. En 1960, après 4 ans de traitement de masse, l'indice microfilarien et la DMf50 s'étaient abaissés à 3% et 3,0. Dans les districts de Mataiea et de Tautira, les indices microfilariens étaient de 39% et 27% en 1950 (avant tout traitement) avec des DMf50 de 23 et 18. En 1958, 3 à 4 ans après la fin du traitement de masse, les indices étaient de 4,9% (Mataiea) et de 3,3% (Tautira) et les DMf50 de 4,5 (Mataiea) et de 4,0 (Tautira). En 1966, les valeurs s'établissaient aux taux suivants : indices microfilariens : 5,2% (Mataiea) et 4,0% (Tautira) et DMf50 : 3,5 (Mataiea) et 3,5 (Tautira). Les essais de chimioprophylaxie de masse ont montré que l'administration une fois par mois d'une dose de diéthylcarbamazine de 6 mg par kilo de poids corporel pendant 12 mois (dose totale : 72 mg/kg) constituait le schéma minimal pour une lutte efficace contre la filariose. Comme mesure complémentaire, on n'a eu recours qu'à la destruction des gîtes larvaires dans un périmètre de 100 m autour de chaque habitation. La meilleure méthode pour évaluer les progrès d'un programme est probablement de comparer avant et après le traitement les indices microfilariens et les proportions de larves de Wuchereria bancrofti au stade infectant chez les moustiques. District filariasis surveys in Tahiti in the years after the Second World War yielded the highest microfilaria rates in the South Pacific area, ranging from 25% to 44% ; the mean elephantiasis rate was 5% and microfilarial densities (MfD50) ranged from 18 to 31. A co-operative filariasis research programme was begun and a control programme was inaugurated in 1953, using diethylcarbamazine therapy supported by mosquito larvae control measures. By 1959 fifteen districts had received mass treatment. Re-examination after 12 months showed that the mean microfilaria rate had dropped from 31% to 3% and the MfD50 from 23 to 4. Subsequently, only positives were re-treated and by 1964 the microfilaria rate had risen to 6.8%. The increase caused concern and the significance of this reservoir of infection was investigated. Administration of diethylcarbamazine in periodic mass treatments only in American Samoa began in 1963 and was accompanied by a drop in the microfilaria rate to less than 1%, leading to interruption of transmission in some areas. |